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Les poissons débarqués de nos littoraux ne sont pas encore très contaminés, mais leur teneur en mercure a augmenté entre 2010 et 2016, indique une étude de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONNSA). Sur cette période, la teneur en mercure était de 0,073 mg/kg, “soit en deçà des limites réglementaires en vigueur qui sont de 1 mg/kg pour les grands poissons prédateurs et de 0,5 mg/kg pour les poissons non prédateurs”, explique l’Office. Et si cette teneur ne suscite pas d’inquiétude actuellement, le fait est que les teneurs moyennes ont augmenté d’une année à l’autre, “se multipliant, parfois, par cinq, en passant de 0,02 mg/kg en 2010 à 0,127 mg/kg en 2016”, précise l’établissement.
Au total, 869 échantillons ont été analysés. Résultat : 7 espèces de poissons affichent les teneurs les plus élevées. Il s’agit de la bonite (0,314 mg/kg), du mulet (0,195 mg/kg), de la roussette (0,192 mg/kg), du requin (0,182 mg/kg), de l’espadon (0,173 mg/kg), du calamar (0,172 mg/kg) et de l’anguille (0,133 mg/kg). En revanche, aucune trace de mercure n’a été relevée sur l’ombrine, le dente et le coq rouge.