Pays basque : vacances et week-ends Saint-Jean-de-Luz et San … – Côté Maison

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Pendant que Saint-Jean-de-Luz garde son charme balnéaire dans ses filets, San Sebastián, capitale européenne de la culture 2016, surfe sur la vague. Au programme : un cabotage franco-espagnol entre deux villes au caractère bien trempé.
1Cap sur la Côte basque : Saint-Jean-de-LuzIdée week-end : Entre Saint-Jean-de-Luz, la station balnéaire pittoresque et San Sebastián, la métropole universitaire et culturelle, la Côte basque nous envoûte. Découvrez tous les lieux à ne pas manquer depuis le port de Socoa jusqu’aux restaurants animés du quartier de Gros.
En photo : Comme Ciboure qui partage sa baie et sa douceur de vivre rythmée par la pêche, Saint-Jean-de-Luz vient d’obtenir le label “Pays d’art et d’histoire”.
Henri del Olmo
2Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : port de Socoa – “Pour sa douceur de vivre au bord de la mer, j’ai choisi de m’installer à Saint-Jean-de-Luz en famille”, nous confie Chloé de Bailliencourt, créatrice d’Arsène et les Pipelettes. Dans le coeur piétonnier de la Cité des Corsaires, sa mode pour enfants met en vitrine cet art de vivre intemporel : en coton et lin, une légèreté au naturel ; d’imprimés en accessoires, une gaîté débordante. Quant à la boutique, autrefois “bibliothèque pour tous”, son sol d’origine carrelle les souvenirs d’enfance à l’équerre d’étagères repeintes dans leur jus, entre caisses de pommes et bois flotté. Avec mari et trois moussaillons, l’amarrage personnel, lui, se love dans une maison basque du quartier de Socoa, de l’autre côté de la Nivelle qui fait le pont avec Ciboure. En photo : A bord des traînières, le pittoresque de Saint-Jean-de-Luz cabote jusqu’au port de Socoa, qui ferme la baie face à la pointe de Sainte-Barbe.
Henri del Olmo
3Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : phare de Saint-Jean-de-Luz – Deux communes, une même agglomération, un port de pêche commun et une éclatante baie en partage, seule rade abritée du Pays basque français. Levant l’ancre de cet arrondi parfait, des bateaux de pêche filent merlus et autres poissons à la ligne, renouant avec une tradition respectueuse des ressources. En photo : A l’embouchure de la Nivelle, le phare est inscrit à l’inventaire des Monuments historiques.
Jean-Marc Palisse/Caroline Clavier
4Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : une architecture colorée – Cette authenticité a inspiré Jean-Hilaire de Bailliencourt et son idée de faire renaître une activité qui avait coulé. La devise de sa conserverie artisanale, astucieusement baptisée Jean de Luz ? “Un produit, des hommes, le Pays basque.” Soit des recettes composées – jusqu’à 95 % des ingrédients – de thon germon, de sardines, de maquereaux, de bonite et autres prises dans l’Atlantique local, provenant principalement de la criée. Sans additif, enrichie uniquement d’ail, piment, huile d’olive et autres légumes extras 5 issus de l’agriculture biologique, la qualité s’ancre tellement dans la transparence que chaque verrine porte le nom du bateau auquel on doit la goûteuse chair. En photo : En vert et rouge sang de boeuf, l’architecture hausse ses couleurs.
Jean-Marc Palisse/Caroline Clavier
5Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : la Grande Plage – Battili ou filets, la transformation est aussi le gage de cette bonne chère. Loin des fritures pratiquées là et ailleurs, l’adepte de la Slow Food a mis au goût du jour un savoir-faire basque qui date de l’Antiquité : le séchage, après salaison, inégalé pour la santé comme pour sa supériorité organoleptique. “Ce procédé n’a rien d’extraordinaire, sourit ce passionné. Ou, plutôt, si : il est tellement “à l’ancienne” que c’est extraordinaire.” Cultiver la tradition pour rester dans le vent ? À voir ce couple de quadras des plus urbains, comme nombre de néoruraux ou marins, ça ne fait pas un pli. Nostalgique des jupes qui volent, la diplômée en arts appliqués applaudit ainsi la guinguette festive qui, pour la deuxième saison, mène la danse dans une ancienne concession Renault. En photo : Protégée au coeur de la ville, la Grande Plage est prisée des familles.
Jean-Marc Palisse
6Un air de “Movida” à San Sebastián : le Club nautique royal – Et, à une trentaine de kilomètres que rapproche une navette ferroviaire depuis Hendaye, les “good vibes” de San Sebastián les aimantent toute l’année. “Gastronomie, culture : nous adorons y aller…” Vamos ! En photo : Sur la plage de la Concha depuis 1929, le Club nautique royal ne réserve plus son architecture rationaliste à ses membres : Gu, un bar et club design, est monté à bord.
Henri del Olmo
7Un air de “Movida” à San Sebastián : l’imposante sculpture Construction vide – Mix de majesté historique et d’avant-garde design, métropole économique et universitaire, la porte d’entrée du Pays basque espagnol vibre d’autant plus d’une belle énergie qu’elle est capitale européenne de la culture en 2016 ; une désignation actée en 2011, année où l’ETA déposait les armes. En photo : Oeuvre acclamée en 1957, la Construction vide de Jorge Oteiza perpétue une référence artistique sur le Paseo Nuevo, contre vents et marées !
Henri del Olmo
8San Sebastián, capitale européenne de la culture 2016 – “Comme l’a énoncé le rapport Delors, apprendre à connaître, à faire, à vivre ensemble est l’enjeu humaniste du XXIe siècle : dans un processus créatif qui tient du laboratoire collaboratif, nous en avons fait le fil de notre programmation”, déclare le directeur de l’événement, Pablo Berástegui. En photo : Sous le sigle DSS2016, la Basque espagnole est capitale européenne de la culture, orchestrée par Pablo Berástegui.
Henri del Olmo
9La Colombe de la Paix sur la promenade de Zurriola à San Sebastián – Autre sculpture de plein air, la Colombe de la Paix prend son envol pacifiste promenade de Zurriola.
Henri del Olmo
10Tabakalera, le nouveau centre de culture contemporaine à San Sebastián – Alors que Jazzaldia vient de prendre un air d’Eurovision, la Quinzaine musicale, soit cinq semaines de classique jusqu’en septembre, va harmoniser choeurs basques et superproduction symphonique, depuis l’auditorium futuriste du Kursaal jusqu’aux voûtes séculaires des églises. Avec Music Box, ce sont des scènes improbables qui s’improviseront chambre d’échos début août ; pop à guetter sur la terrasse du Tabakalera, nouvel épicentre de la culture contemporaine qui met le feu à l’ancienne manufacture de tabac.
Henri del Olmo
11Le Basque Culinary Center à San Sebastián – Autre réhabilitation audacieuse, le couvent dominicain qui loge le musée basque San Telmo s’est drapé depuis 2011 d’une façade en aluminium, se végétalisant dans un trait d’union avec le mont Urgull. La culture culinaire, seconde nature ici, concocte à sa sauce un savoureux mélange des genres, assaisonné d’une mixité générationnelle dont l’Espagne a le secret. En photo : Son architecture offerte sur plateaux, le Basque Culinary Center mérite autant une visite qu’un déjeuner.
Henri del Olmo
12Le Palais des Congrès et Auditorium Kursaal à San Sebastián – En 1999, le futuriste Kursaal a posé ses “cubes” sur la plage de la Zurriola, tels deux “rochers échoués” soulignant “l’harmonie entre le naturel et l’artificiel”, dixit son concepteur Rafael Moneo, prix d’architecture contemporaine Mies Van der Rohe. Dans le prolongement du pont Art Déco d’époque, ce vaisseau culturel signe l’audace créative de San Sebastián.
Henri del Olmo
13Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : les Halles – Le mardi et le vendredi, maraîchers et producteurs font déborder les halles, ouvertes tous les jours.
Henri del Olmo
14Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : restaurant La Boëte – Avec ce tartare de hareng et sa chantilly de betterave, par exemple, deux Havrais revisitent les produits de la mer à La Boëte.
Henri del Olmo
15Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : Guinguette d’Erromardie – Courue pour le coucher de soleil, celle d’Erromardie embrase l’apéro depuis sa guinguette.
Henri del Olmo
16San Sebastián, eldorado de la gastronomie : Belgrado – Pendant que se multiplient les tables étoilées, avec une densité au mètre carré qui frôle le record mondial, l’art des tapas court les rues. Piqués ou non du bâtonnet qui leur a donné le nom basque de pintxos, bruts de terroir ou savamment travaillés, froids ou cuisinés à la minute, ces chefs-d’oeuvre balisent de multiples explorations. En photo : Des vins et fromages en rayon, de la mode et des livres meublant la déco vintage, des snacks et jus au comptoir : fenêtre sur la plage de la Zurriola, Belgrado est cool comme le quartier de Gros.
Henri del Olmo
17San Sebastián, eldorado de la gastronomie : A Fuego Negro – Standing du Maria Cristina oblige, l’institution hôtelière propose l’exclusivité d’un “passeport” pour être mené, sous l’estampille de sa conciergerie, vers cette haute couture gastronomique. À l’instinct, on peut aussi se laisser guider par les vagues de gourmets qui déferlent chaque jeudi soir dans le quartier animé de Gros pour le pintxo-pote. Soit, “une tapa, une boisson”, à prix raisonnable : petit vin blanc fruité de Getaria, versé à bout de bras dans de grands gobelets, le txakoli cascade de comptoirs en terrasses… Un art de vivre qui surfe sur tous les plateaux et tableaux. En photo : Parmi les bars à pintxos du moment, A Fuego Negro sublime un poulpe grillé, avec pomme verte et pomme de terre violette.
Henri del Olmo
18San Sebastián, eldorado de la gastronomie : Ni Neu – A l’abri de sa déco ou dans la brise marine de sa terrasse, Ni Neu propose de s’amarrer au Kursaal pour manger ou boire un verre.
Henri del Olmo
19Séquence vintage à Saint-Jean-de-Luz – Pour le deuxième été, une buvette se gare dans une ancienne concession Renault – promise à un nouveau virage immobilier… Ex-propriétaires du Madrid, à Guéthary, Martine Boulard et Cyrille Maire sont au volant de cette “place du village avec un toit”, jouxtant les halles. Son nom ? Chez Renauld ! Aux comptoirs : le terroir. En salle : un esprit festif, pour toutes les générations.
Henri del Olmo
20Travelling ciné à San Sebastián – Prix d’interprétation féminine à Lee Remick en 1963 ; coquille d’argent en 1959 pour La Mort aux trousses. Dans ses 107 chambres, l’Astoria 7 déroule le tapis rouge au festival international du film, dont la 64e édition aura lieu du 16 au 24 septembre. Le 7e art ? Un art de vivre !
Henri del Olmo
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Cap sur la Côte basque : Saint-Jean-de-LuzIdée week-end : Entre Saint-Jean-de-Luz, la station balnéaire pittoresque et San Sebastián, la métropole universitaire et culturelle, la Côte basque nous envoûte. Découvrez tous les lieux à ne pas manquer depuis le port de Socoa jusqu’aux restaurants animés du quartier de Gros.
En photo : Comme Ciboure qui partage sa baie et sa douceur de vivre rythmée par la pêche, Saint-Jean-de-Luz vient d’obtenir le label “Pays d’art et d’histoire”.
Henri del Olmo
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Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : port de Socoa – “Pour sa douceur de vivre au bord de la mer, j’ai choisi de m’installer à Saint-Jean-de-Luz en famille”, nous confie Chloé de Bailliencourt, créatrice d’Arsène et les Pipelettes. Dans le coeur piétonnier de la Cité des Corsaires, sa mode pour enfants met en vitrine cet art de vivre intemporel : en coton et lin, une légèreté au naturel ; d’imprimés en accessoires, une gaîté débordante. Quant à la boutique, autrefois “bibliothèque pour tous”, son sol d’origine carrelle les souvenirs d’enfance à l’équerre d’étagères repeintes dans leur jus, entre caisses de pommes et bois flotté. Avec mari et trois moussaillons, l’amarrage personnel, lui, se love dans une maison basque du quartier de Socoa, de l’autre côté de la Nivelle qui fait le pont avec Ciboure. En photo : A bord des traînières, le pittoresque de Saint-Jean-de-Luz cabote jusqu’au port de Socoa, qui ferme la baie face à la pointe de Sainte-Barbe.
Henri del Olmo
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Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : phare de Saint-Jean-de-Luz – Deux communes, une même agglomération, un port de pêche commun et une éclatante baie en partage, seule rade abritée du Pays basque français. Levant l’ancre de cet arrondi parfait, des bateaux de pêche filent merlus et autres poissons à la ligne, renouant avec une tradition respectueuse des ressources. En photo : A l’embouchure de la Nivelle, le phare est inscrit à l’inventaire des Monuments historiques.
Jean-Marc Palisse/Caroline Clavier
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Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : une architecture colorée – Cette authenticité a inspiré Jean-Hilaire de Bailliencourt et son idée de faire renaître une activité qui avait coulé. La devise de sa conserverie artisanale, astucieusement baptisée Jean de Luz ? “Un produit, des hommes, le Pays basque.” Soit des recettes composées – jusqu’à 95 % des ingrédients – de thon germon, de sardines, de maquereaux, de bonite et autres prises dans l’Atlantique local, provenant principalement de la criée. Sans additif, enrichie uniquement d’ail, piment, huile d’olive et autres légumes extras 5 issus de l’agriculture biologique, la qualité s’ancre tellement dans la transparence que chaque verrine porte le nom du bateau auquel on doit la goûteuse chair. En photo : En vert et rouge sang de boeuf, l’architecture hausse ses couleurs.
Jean-Marc Palisse/Caroline Clavier
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Chic balnéaire à Saint-Jean-de-Luz : la Grande Plage – Battili ou filets, la transformation est aussi le gage de cette bonne chère. Loin des fritures pratiquées là et ailleurs, l’adepte de la Slow Food a mis au goût du jour un savoir-faire basque qui date de l’Antiquité : le séchage, après salaison, inégalé pour la santé comme pour sa supériorité organoleptique. “Ce procédé n’a rien d’extraordinaire, sourit ce passionné. Ou, plutôt, si : il est tellement “à l’ancienne” que c’est extraordinaire.” Cultiver la tradition pour rester dans le vent ? À voir ce couple de quadras des plus urbains, comme nombre de néoruraux ou marins, ça ne fait pas un pli. Nostalgique des jupes qui volent, la diplômée en arts appliqués applaudit ainsi la guinguette festive qui, pour la deuxième saison, mène la danse dans une ancienne concession Renault. En photo : Protégée au coeur de la ville, la Grande Plage est prisée des familles.
Jean-Marc Palisse
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Un air de “Movida” à San Sebastián : le Club nautique royal – Et, à une trentaine de kilomètres que rapproche une navette ferroviaire depuis Hendaye, les “good vibes” de San Sebastián les aimantent toute l’année. “Gastronomie, culture : nous adorons y aller…” Vamos ! En photo : Sur la plage de la Concha depuis 1929, le Club nautique royal ne réserve plus son architecture rationaliste à ses membres : Gu, un bar et club design, est monté à bord.
Henri del Olmo
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Un air de “Movida” à San Sebastián : l’imposante sculpture Construction vide – Mix de majesté historique et d’avant-garde design, métropole économique et universitaire, la porte d’entrée du Pays basque espagnol vibre d’autant plus d’une belle énergie qu’elle est capitale européenne de la culture en 2016 ; une désignation actée en 2011, année où l’ETA déposait les armes. En photo : Oeuvre acclamée en 1957, la Construction vide de Jorge Oteiza perpétue une référence artistique sur le Paseo Nuevo, contre vents et marées !
Henri del Olmo
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San Sebastián, capitale européenne de la culture 2016 – “Comme l’a énoncé le rapport Delors, apprendre à connaître, à faire, à vivre ensemble est l’enjeu humaniste du XXIe siècle : dans un processus créatif qui tient du laboratoire collaboratif, nous en avons fait le fil de notre programmation”, déclare le directeur de l’événement, Pablo Berástegui. En photo : Sous le sigle DSS2016, la Basque espagnole est capitale européenne de la culture, orchestrée par Pablo Berástegui.
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La Colombe de la Paix sur la promenade de Zurriola à San Sebastián – Autre sculpture de plein air, la Colombe de la Paix prend son envol pacifiste promenade de Zurriola.
Henri del Olmo
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Tabakalera, le nouveau centre de culture contemporaine à San Sebastián – Alors que Jazzaldia vient de prendre un air d’Eurovision, la Quinzaine musicale, soit cinq semaines de classique jusqu’en septembre, va harmoniser choeurs basques et superproduction symphonique, depuis l’auditorium futuriste du Kursaal jusqu’aux voûtes séculaires des églises. Avec Music Box, ce sont des scènes improbables qui s’improviseront chambre d’échos début août ; pop à guetter sur la terrasse du Tabakalera, nouvel épicentre de la culture contemporaine qui met le feu à l’ancienne manufacture de tabac.
Henri del Olmo
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Le Basque Culinary Center à San Sebastián – Autre réhabilitation audacieuse, le couvent dominicain qui loge le musée basque San Telmo s’est drapé depuis 2011 d’une façade en aluminium, se végétalisant dans un trait d’union avec le mont Urgull. La culture culinaire, seconde nature ici, concocte à sa sauce un savoureux mélange des genres, assaisonné d’une mixité générationnelle dont l’Espagne a le secret. En photo : Son architecture offerte sur plateaux, le Basque Culinary Center mérite autant une visite qu’un déjeuner.
Henri del Olmo
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Le Palais des Congrès et Auditorium Kursaal à San Sebastián – En 1999, le futuriste Kursaal a posé ses “cubes” sur la plage de la Zurriola, tels deux “rochers échoués” soulignant “l’harmonie entre le naturel et l’artificiel”, dixit son concepteur Rafael Moneo, prix d’architecture contemporaine Mies Van der Rohe. Dans le prolongement du pont Art Déco d’époque, ce vaisseau culturel signe l’audace créative de San Sebastián.
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Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : les Halles – Le mardi et le vendredi, maraîchers et producteurs font déborder les halles, ouvertes tous les jours.
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Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : restaurant La Boëte – Avec ce tartare de hareng et sa chantilly de betterave, par exemple, deux Havrais revisitent les produits de la mer à La Boëte.
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Saint-Jean-de-Luz ou le bonheur dans l’assiette : Guinguette d’Erromardie – Courue pour le coucher de soleil, celle d’Erromardie embrase l’apéro depuis sa guinguette.
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San Sebastián, eldorado de la gastronomie : Belgrado – Pendant que se multiplient les tables étoilées, avec une densité au mètre carré qui frôle le record mondial, l’art des tapas court les rues. Piqués ou non du bâtonnet qui leur a donné le nom basque de pintxos, bruts de terroir ou savamment travaillés, froids ou cuisinés à la minute, ces chefs-d’oeuvre balisent de multiples explorations. En photo : Des vins et fromages en rayon, de la mode et des livres meublant la déco vintage, des snacks et jus au comptoir : fenêtre sur la plage de la Zurriola, Belgrado est cool comme le quartier de Gros.
Henri del Olmo
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San Sebastián, eldorado de la gastronomie : A Fuego Negro – Standing du Maria Cristina oblige, l’institution hôtelière propose l’exclusivité d’un “passeport” pour être mené, sous l’estampille de sa conciergerie, vers cette haute couture gastronomique. À l’instinct, on peut aussi se laisser guider par les vagues de gourmets qui déferlent chaque jeudi soir dans le quartier animé de Gros pour le pintxo-pote. Soit, “une tapa, une boisson”, à prix raisonnable : petit vin blanc fruité de Getaria, versé à bout de bras dans de grands gobelets, le txakoli cascade de comptoirs en terrasses… Un art de vivre qui surfe sur tous les plateaux et tableaux. En photo : Parmi les bars à pintxos du moment, A Fuego Negro sublime un poulpe grillé, avec pomme verte et pomme de terre violette.
Henri del Olmo
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San Sebastián, eldorado de la gastronomie : Ni Neu – A l’abri de sa déco ou dans la brise marine de sa terrasse, Ni Neu propose de s’amarrer au Kursaal pour manger ou boire un verre.
Henri del Olmo
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Séquence vintage à Saint-Jean-de-Luz – Pour le deuxième été, une buvette se gare dans une ancienne concession Renault – promise à un nouveau virage immobilier… Ex-propriétaires du Madrid, à Guéthary, Martine Boulard et Cyrille Maire sont au volant de cette “place du village avec un toit”, jouxtant les halles. Son nom ? Chez Renauld ! Aux comptoirs : le terroir. En salle : un esprit festif, pour toutes les générations.
Henri del Olmo
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Travelling ciné à San Sebastián – Prix d’interprétation féminine à Lee Remick en 1963 ; coquille d’argent en 1959 pour La Mort aux trousses. Dans ses 107 chambres, l’Astoria 7 déroule le tapis rouge au festival international du film, dont la 64e édition aura lieu du 16 au 24 septembre. Le 7e art ? Un art de vivre !
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