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VIDÉO. Dans “Paris Match”, l’ex-top model raconte son combat pour tomber enceinte, après une fausse couche en 2016. Quitte à envisager l’adoption.
Temps de lecture : 2 min
Mannequin, femme d’affaires, ambassadrice de la Croix-Rouge, animatrice télé – notamment au côté de Michel Cymes dans Les pouvoirs extraordinaire du corps humain… À 45 ans, Adriana Karembeu a déjà vécu plusieurs vies, sauf une qui lui tient désormais à cœur : devenir enfin mère. Après avoir été mariée avec le footballeur Christian Karembeu, elle a refait sa vie dernièrement avec Aram Ohanian, un homme d’affaires d’origine arménienne qu’elle a épousé en 2014. Avec des rêves de maternité plein la tête, même si le chemin pour les accomplir prend des allures de parcours du combattant, avec ses douleurs et ses échecs.
« Nous irons jusqu’au bout, explique-t-elle cette semaine dans Paris Match . L’année dernière, je suis tombée enceinte et j’étais folle de bonheur ! Malheureusement, c’était un œuf clair que j’ai perdu à sept semaines de grossesse. Dans les mois qui ont suivi, je ne pouvais pas croiser une femme enceinte ou avec un bébé sans sentir les larmes me monter aux yeux. J’ai vraiment très envie de devenir maman, ce qui n’était pas le cas lorsque j’étais plus jeune. »
Venue de l’ex-Tchécoslovaquie, Adriana Karembeu a travaillé d’arrache-pied pour se faire un prénom et percer dans le mannequinat. Une période intense qui ne laissait pas de place à la maternité : elle fait 1,85 mètre et son agence lui demandait d’entrer dans une taille 34, sans dépasser les 53 kilos… « Entre 20 et 40 ans, raconte-t-elle dans Match, je travaillais comme une mule. Je prenais l’avion six fois par semaine, je me levais à 4 heures du matin et ne rentrais jamais à la maison avant minuit. Je vivais à côté de ma propre vie. Je la mettais complètement entre parenthèses pour des périodes allant de trois semaines à deux mois… »
Depuis, les priorités ont changé, l’ex-top model se met moins la pression et a appris à écouter son corps. L’été dernier, elle disait même suivre un régime spécial à base de produits de la mer pour avoir une bonne hygiène de vie et mettre toutes les chances de son côté : des algues lyophilisées, riches en antioxydants, ou encore de la bonite séchée, un poisson à haute teneur en minéraux… Avec toujours en tête l’espoir de tomber enceinte. « J’ai fait des examens et tout va bien physiquement, expliquait-elle à l’époque dans Gala. Je suis en mesure d’en avoir, mais ça ne vient pas. Je m’en veux, je me suis réveillée un peu tard… » Elle se donne encore un an pour réaliser son rêve. Sinon, elle est résolue à entamer une procédure d’adoption avec son mari.
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Ridicule, pitoyable ; et les commentaires affligés ou compatissants, voire élogieux sont encore plus grotesques. Un enfant quand je veux, comme un point d’orgue à une belle carrière, comme un plaisir que l’on s’offre quand on a acheté tout ce que l’on voulait ? Comme une cerise sur le gâteau ? Après avoir nié, brutalisé la nature en interdisant à son corps d’accomplir ce pourquoi il est fait ? Non, un enfant ne s’achète pas, ne se commande pas. Si on le refuse pendant 30 ans, on ne l’exige pas à 45 ans. Tant pis. Un enfant s’accueille, se reçoit avec amour et reconnaissance. Vous avez maltraité la nature, Madame Karembeu, qu’en exigez-vous maintenant ?
Madame C.
Encore une piégée. Comme tant d autres à qui l on promet la maternité plus tard (congélation d ovocytes) en échange de leur jeunesse et de leur force de travail. Sauf que le corps est fait d une certaine façon. La triche a ses limites. Non seulement il est compliqué d être mère après 38 ans, mais de plus les éventualités de malformations sont démultipliées. Et même quand tout va bien, on encaisse pas de la même façon les nuits sans sommeil à 25 ans et a 45 ! Et puis si l enfant fait lui même la même chose, on et grand mère à quel âge ? 80 ans ? 90 ? Il faut raison garder. Prendre le temps de se poser et de trouver l âme sœur, oui, certainement. Mais attendre plus de 40 ans, on marche sur la tête.
Il est vrai que dans certaines professions “le tourbillon de la vie” est impitoyable pour les femmes il semble que ce soit une personne avec de vrais valeurs j espère qu elle atteindra son but simplement… Ç est vrai que notre horloge biologique est dure avec nous… Courage à elle…
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