Une équipe internationale décrit pour la première fois les mécanismes qui conduisent à la contamination au mercure de thons du Pacifique. Elle montre le rôle important des processus bio-géochimiques dans les océans et pointe les émissions atmosphériques en Asie
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Centrales électriques, aciéries, cimenteries… toute combustion du charbon rejette du mercure métallique dans l’atmosphère. Il en va de même pour l’orpaillage, activité souvent clandestine qui utilise du mercure pour coaguler les paillettes d’or, rejetant du métal dans les cours d’eau et dans l’atmosphère. Les océans sont le principal réceptacle de ce mercure d’origine anthropique.
S’y ajoute celui rejeté par les éruptions volcaniques et les sources hydrothermales sous-marines. Au total, les océans contiendraient environ 300 000 à 400 000 tonnes de mercure, dont environ 80 000 tonnes liées aux activités humaines, avait conclu une vaste étude globale en 2014. De nouveaux travaux, publiés le 11 janvier dans PNAS, viennent préciser les mécanismes de contamination des poissons dans le Pacifique.
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