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Le guide ultime pour savoir où commander à manger en ce moment à Paris. A dévorer à la maison !
En attendant de mettre K.O. cette saleté de virus, Time Out a retroussé les manches de son pyjama et vous a mitonné une sélection exhaustive des meilleurs restaurants à dévorer à la baraque ! Comprenez : un very best of regroupant pêle-mêle tous les genres ou presque, entre dingueries nipponnes, boui-boui d’amour, burgers ricains, italiens qui frôlent le gastro et autres tueries bistrotières… Bref, un iconoclassement où le kebab-frites rencontre quelques re-stas du Bibendum. Alors certes, tout cela ne vaudra jamais un vrai bon resto avec une vraie nappe amidonnée. Mais tout de même : en attendant d’y poser son boule, continuons de soutenir nos restaurateurs adorés dans cette période difficile. Time Out vous aime et pense à vous !
Modus operandi : Fidèle à nos principes éditoriaux, les journalistes de Time Out Paris ont testé l’intégralité des restaurants présents dans cette liste. Ils se sont ensuite réunis pour établir cette sélection forcément très subjective, classée par ordre alphabétique. Psst : Retrouvez toutes nos bonnes adresses sur Mapstr !
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Quelle vibe ? Gloire soit rendue au chef Katsuaki Okiyama ! Après son micro-restaurant bistronomico-nippon, la toque japonaise avait lancé cette deuxième adresse pour sobaphiles, les amoureux de ces nouilles au sarrasin qui se dégustent dans un bouillon chaud ou froid ! En ce moment, soba-bye bye ! Place à des bêtes de bentos à 15 balles : au tonkatsu (porc pané), façon karaage (poulet frit), au saumon mariné au miso, ou encore aux gambas panées… Régal !
Mode d’emploi : Click and collect au 01 45 23 51 68, retraits du mardi au samedi midi (12h-14h) au 10 rue Saulnier, 9e
Quelle vibe ? Tamir Nahmias, géniale toque israélienne passée par Fulgurances, campe toujours son resto-traiteur méditerranéen passage des Panoramas. Et au vu de notre dernier déj, y a pas à dire : Adar, c’est toujours dar ! A piocher parmi les mezzés à 6,50 € : green taboulé aux pignons de pin, amandes, épinards, aneth et menthe, parfaitement assaisonnée ; merveille de pomme de terre, œuf et paprika ; maligne portion de céleri, raisons secs, câpres et poivre vert… Sans oublier, tout chauds sortis du four : ces mini boreks au chèvre frais et potimarron ! Que de dingueries à boulotter de préférence au soleil, affaissé sur les bancs avoisinant du Palais Royal.
Mode d’emploi ? Commandes avant 14h, pick up et livraison entre 12h et 20h. Après 14h, commandes pour le lendemain. adar-paris.com.
Quelle vibe ? Fini les tristes jambon-beurre, les casse-croûte sécos ou pas assez garnis. Véritable rock star du marché des Enfants-Rouges, Alain prend les commandes de son échoppe comme on entre en scène. Il faut dire que la liste d’ingrédients est longue comme le bras : salade, tomates, champignons, avocat, oignons confits, ciboulette, fromage (cantal ou comté) et viande (jambon cru ou cuit, pastrami, poulet épicé, truite fumée ou cecina de Leon, un jambon de bœuf ibérique). Généreux, Alain amoncelle les rubans de fromage et de viande, mais par miracle, tout rentre. Une vraie Mary Poppins du sandwich. Après un passage sur la crêpière pour toaster le tout, c’est le clou du spectacle : la dégustation. On s’en met plein les doigts, mais bon Dieu que c’est bon !
Mode d’emploi ? A emporter ou click & collect via l’appli Pulp, sans attente ni surcoût, du mardi au dimanche. Bon plan coupe-file : scannez le QR code, passez commande, payez et venez retirer votre dwich sans faire la queue !
Quelle vibe ? Youpi ! A 7 minutes à pied de la place de Bastille, les fourneaux de ce génial bistrot tournent toujours à plein régime, pour la vente à emporter et la livraison. En cuisine, le superchef Christophe Philippe régale à grands coups de plats ultra-réconfortants, exécutés de main de maître. Type terrine de cochon kintoa (5 €), pied de cochon basque désossé (6 €) ou langue de veau (6 €)… Côté plats, à vous le ris de veau fermier, rôti entier (20 €) ou la tendrissime joue de veau (13 €) – mijotée 30 longues heures siouplé. La garniture est incluse dans le prix (purée de pommes de terre ou légumes). Côté dessert, ne faites pas l’impasse sur le mythique mi-cuit 100 % cacao (6 €). Ni sur la cave chantournée par Loris, tout nouveau sommelier (ex-Carbon et Table de Bruno Verjus) qui vous glisse dans le cabas pour quelques euros en plus ses meilleurs flacons (vins naturels/biodynamie).
Mode d’emploi ? Uniquement sur commande, en direct auprès du chef par SMS (07 67 33 21 25). Précisez l’heure à laquelle vous désirez le retrait et la formule de votre choix : chaud et prêt à consommer, ou sous vide à réchauffer chez vous. Toute la carte est détaillée ici. Paiement Visa en ligne ou sans contact sur place (7/7 de 11h à 15h et de 18h à 21h30). Venir avec un sac pour emporter les plats.
Quelle vibe ? Pendant la fermeture contrainte des restaurants, le chef japonais Atsushi Tanaka troque ses menus à rallonges et ses assiettes gastronomiques ultra-graphiques (des céramiques Gurli Elbækgaard) pour vous dépoter une offre chirashi-sushi et sashimi à vous péter la rétine ! Au menu ? Revigorant et coloré Sushi Chirashi (30 €) avec riz vinaigré, thon d’Espagne, œuf de truite, shiitake, carotte, lotus, wasabi et sudachi (un agrume japonais). Mais aussi, pour les fadas de sashimi (25 €), le choix entre trois options : thon rouge, toro (thon gras) et/ou pagre pêché sur un petit bateau… Avant, en clou du spectacle, une merveille de panna cotta au kumquat. A noter pour faire passer le tout, la possibilité de shopper des vins nature d’exception, comme ce Bourgogne Les Bigotes 2018 (40 €) signé Frédéric Cossard.
Mode d’emploi ? Take away et vente à emporter sur le site officiel.
Quelle vibe ? Après avoir étudié le commerce international en Chine, Stanislas Deniau a préféré lancer en 2016 cette cantine épurée et pop, aux abords de Saint-Georges. Laquelle pousse haut les couleurs du Sichuan, région (et gastronomie) chère à notre cœur, célèbre pour son super poivre (ma) et piment (la). A ne pas rater ? Nouilles de blé à tomber (11-13 €) et dodus raviolis porc/gingembre (6 €)… La pâte et la sauce soja sont faites maison ! Et puis cette croquante salade froide de racines de lotus (6 €), rien à voir avec celles, réhydratées et fadasses, qu’on trouve habituellement dans les restos chinois.
Mode d’emploi ? click & collect ou livraison via Deliveroo.
Quelle vibe ? Oubliez les pizzas joufflues comme à Napoli. Dans cette ancienne galerie d’art lookée, un pizzaïolo chaussé de Rombaut balance depuis son méga-four à bois de maousses pizzas à la mode di Roma (pâte fines et croustillantes, 12-18 €). Lesquelles, disons-le d’entrée, comptent parmi les meilleures de la capitale ! Bien aidé dans la découpe par une paire de ciseaux, vous allez en voir de toutes les couleurs : simple et minimaliste margherita e bufala (tomate, mozzarella de bufflonne et basilic) ; plus intéressante, voire divine, parma rossa (tomate, jambon de parme affiné 22 mois, mozza de bufflonne et basilic) ; ou bien cochonne mais très salée carbonella (fior di latte, guanciale – joue de porc –, copeaux de pecorino, crème de jaune d’œuf et poivre)…
Mode d’emploi : 09 83 63 83 81. Ouvert du mardi au samedi, 12h-14h30 et 18h30-20h. A emporter; click & collect ou livraison sur Deliveroo du mardi au samedi, midi et soir jusqu’à 21h30.
Quelle vibe ? Une sympathique squadra emmenée par une cheffe toscane et un sommelier napolitain. Alessandra Olivi emprunte à la Botte comme à l’Hexagone, et ne travaille qu’avec de la came de très haute qualité (bio ou assimilé, petits producteurs…) De la vallée de l’Etna au Septentrion, jusqu’aux Langhe du Piemonte, les vins (également à emporter) vous font voyager dans toute la Botte, mais pas que (très belle sélection de vins français). Le tout à prix sages ! A boulotter ? Ces lasagnes à la bolognaise absolument parfaites (11 €), un gâteau salé farci au potimarron et fromage caciocavallo (7 €), des cannelloni maison aux shiitakés et ricotta di bufala (10 €)… Etc etc.
Mode d’emploi ? Uniquement en take away : plats à récupérer de 10h30 à 21h, tout chauds ou à réchauffer chez vous.
Quelle vibe ? Après KB Coffee Roasters dans le 9e (2010), Nicolas Piégay, pionnier du café de spécialité à Paris, a récidivé avec ce vaste spot de 200 m2, dépotant des assiettes goûtues qui voyagent entre Brooklyn, Tokyo et Tel Aviv. Le brunch, gargantuesque, est mitonné par la cheffe Mina Idyoussef, qui fait tout elle-même jusqu’aux moindres détails (pains, confiotes, pickles …) Brioche perdue, hot dog à la basque, œufs brouillés… À noter, plusieurs options veggie (omelette roll façon okonomiyaki) voire vegan (demi chou-fleur rôti aux épices et chapelure au dukkah). Le tout, à prix sages : plats 5-12 € ; pâtisseries 3,50-5,50 € ; cafés de spécialité 2,50-6 €. Compter environ 15-20 € par personne.
Mode d’emploi ? Click & collect au 25 rue Amelot, 11e.
Quelle vibe ? Alors qu’il a mis ses vinyles au placard (façon de parler, ils trônent toujours derrière ce magnifique comptoir en béton brossé, entre deux maousse enceintes en bois), Bambino profite du Covid pour affirmer plus que jamais ses influences tokyoïtes. Et propose à la carte des mets comme là-bas. A piocher ? Ce très réussi Tonkatsu Sando (pain de mie japonais shoppé chez Carré Pain de Mie, porc pané, sauce tonkatsu, chou, moutarde)… À grailler avec une salade sauce ponzu, des mini churros et un thé Genmaicha (14 € la formule). Mais aussi une version Tamago Sando -sorte d’omelette japonaise avec œufs durs, mayonnaise, câpres et poivre. Pour les gros morphales, la possibilité d’ajouter 5 pièces de karaage (9 €) : poulet mariné et frit à la japonaise (marinade soja-ail, gingembre, saké), à dipper dans de la mayonnaise maison. Sans oublier, pour ceux qui ne sont pas forcément nippomaniaques, l’imbattable sandwich franchouillard au poulet rôti et aïoli, à tremper dans son jus lèche-babines (14 € la formule).
Mode d’emploi ? À emporter et en click & collect sur le site de Bambino, tous les jours de midi à 14h30. Egalement sur Uber Eats
Quelle vibe ? Le Beefbar, le temple m’a t-u vu où grailler le meilleur de la viande, s’acoquine avec le Relais de Paris pour la collab la plus carnassière de l’année. D’un côté, un spot drivé par Riccardi Giraudi, anglo-italien et importateur de bidoche de luxe, qui n’hésite pas à foutre sur sa carte le fameux bœuf de Kobe nourri au grains 900 jours à 190 € (qui on en doute pas fera de l’œil aux plus friqués d’entre vous). Et de l’autre, une institution bistrotière parisienne, surtout connue pour sa sauce top secrète qui accompagne les frites et sa viande. Pour notre part, on a testé et approuvé cette baguette de steak-frites (19 €), flanquée de tagliata de bœuf, de frites croustifondantes et de sa mythique sauce Relais. Et, pour le côté moins lèches-doigts, ce tendrissime cœur de filet tournedos (39 € les 200g) servi avec les mêmes sauces et condiments toujours au top. Pour faire passer le tout, quelques vins de la haute et des cocktails (non-testés) qui poussent à fond le curseur de l’originalité. Au hasard : vodka infusée au thé matcha, gin et thé blanc à la myrthille etc.
Mode d’emploi : https://relais.beefbar.com
Quelle vibe ? Si le serial pizzaïolo napolitain Gennaro Nasti (vice-champion du monde 2012 du disque d’or), continue de distribuer de rutilantes pizzas dans tout Paris (Popine, Popinette, Popine Saint-Sauveur…), c’est son Bijou bien gardé, à quelques enjambées des Abbesses, qui a notre préférence. Le spot a été élu meilleure pizzeria au monde (hors Italie) au classement 2017 du guide Gambero Rosso, et 2e au classement européen Top 50 Pizza (2019). A la carte ? D’un côté, des pizzas classiques (les moins chères). De l’autre, des pizzas « gourmets » pour les geeks (pâte de maboul croisant différentes farines, fermentée longuement, mélangée avec du champagne Laurent Perrier…) A ne pas rater non plus : le tiramisu au café maison, peut-être le meilleur mangé à Paris, avec son mascarpone ultra-aérien.
Mode d’emploi ? En livraison (Uber Eats, Deliveroo), à emporter et en click & collect ici. Tous les jours 12h-15h puis 19h-21h30.
Quelle vibe ? On aurait presque envie de se faire hara-kiri pour ne pas être retourné plus tôt chez Blueberry. Car après une livraison (très) remarquée, il n’y a pas à dire : Blueberry trône (désormais) tout en haut de notre eat-parade des meilleures planques japs de Paname ! Sise au cœur de Saint-Germain, cette cool planque à sushis et makis créatifs casse la baraque avec ses délices rose, orange, vert… Des rainbow makis tout sauf conventionnels, répondant à des noms plus loufoques les uns que les autres : convaincants Trublions (sushis, tartare de saumon, grenade et sauce explosive au tobiko) ; subtil et très graphique Transsibérien (crabe des neiges, gambas, pomme, pamplemousse, mayonnaise, avocat, aneth, œufs de samon, nori) ; ou encore mythique Rackam le Rouge (tempuras de gambas, thon mariné, carpaccio de truffe, concombre, sauce épicée, tobiko, nori… notre préféré). Comptez 14-21 € les six, tous testés et approuvés par la Rédac. Également à la carte : crispy ceviche de daurade (14 €) ou addictive “Geisha de la rue du Sabot” : une crêpe croquante fourrée au thon et à la crème de truffe (7 €). Sans oublier les mochis artisanaux (5 € pièce) et cet original tiramisu à la crème de sésame noir (12 €). Côté glouglou, le choix entre de bons vins français (autour de 25 € la quille), deux bières japonaises (7-8 €), et quelques sakés (une vingtaine d’euros la bouteille).
Mode d’emploi ? Commande et click & collect ou livraison dans tout Paris en ligne. Choisir le jour et l’heure souhaités. Pour toute commande immédiate, choisir un horaire réaliste selon votre mode de retrait et votre éloignement. Cliquez sur l’option “retirer sur place” ou “livraison”. Fermé dimanche et lundi
Quelle vibe ? Veggie, mais gourmand ! Après Bob’s Juice Bar (10e) et Kitchen (3e), le serial restaurateur Marc Grossman joue le triplé du côté de la Halle Pajol (18e), dans un cadre so cool, esprit 50’s, avec gigas panneaux affichant les réjouissances du jour. De quoi se téléporter à Brooklyn pour quelques euros… Et bruncher tous les jours de la semaine : pancakes (6 €) ; challah (brioche juive du Shabbat) façon pain perdu (10 €) ; yaourt grec granola maison (3,50 €). Également à la carte : bob’s bowl aux légumes (à choper à partir de 11h, 8,50 €) ; soupe du jour vegan (6 €) ou veggie burger (14 €). Le bonhomme propose enfin une alternative sans viande aux fadas de burgers, avec un très convainquant Cheesburger veggie (16 €) : bun maison, steak haché végétal des « Nouveaux Fermiers », pommes de terres rôties, sauce mayo et fromage cheddar. Sans oublier, surtout, les célèbres bagels, toastés (7-9 €) ou en kit, à garnir chez soi ! Pour la glycémie ? Cookie classique, matcha ou beurre de cacahuète (3 €), muffin au chocolat gluten free ou doughnut vegan (4 €) et autres cinnamon rolls (4 €)…
Mode d’emploi ? Take away et click & collect ici. Bagels kits à commander la veille avant 15h. Livraison possible via Deliveroo.
Quelle vibe ? A 300 mètres du périph, ce spot secoue les Puces ! Aux fourneaux, Alcidia Vulbeau (ex-Frenchie), supercheffe repérée par Time Out, laquelle n’a pas son pareil pour vous dépoter du pulled pork caramélisé dans un bun brioché (8 €), un bête de risotto d’orge perlé aux coquillages, crème infusée au haddock dopée au kumquat (12 €)… Ou ce diabolique gâteau choco chantilly au sirop de dattes (5 €) ! Pour faire passer le tout ? Canons de sang pur, tendance biodynamie/vins naturels, castés par Mathias Tenret.
Mode d’emploi ? Petits plats à emporter, du mardi au samedi midi. Précommande possible : 01 49 48 09 69.
Quelle vibe ? Youpi ! Les deux Bouillon proposent une offre en click & collect ou livraison… À prix défiant toute concurrence ! A emporter via Bouillon Service : formules bistrot (plat/dessert ou entrée/plat) à 8,80 € et menu complet à 10 balles… Royal ! Possibilité bien sûr de piocher à la carte tout un tas de plats pour faims de mois : choux à la crème (2,50 €), œufs mayo sacrés « champions du monde » (2 €)… A se faire livrer chez soi via Epicery : leurs bons p’tits plats, à la carte ou version famille (60-66 € le panier pour quatre personnes). Dans les deux cas, possibilité de se ravitailler également en vins, cafés et surtout pain, avec cette tuerie de miche Poujauran, habituellement réservée à la restauration (4,50 € les 500 g).
Mode d’emploi ? En click & collect ici. Livraison possible via Epicery.
Quelle vibe ? Si le gastronomique de la toque étoilée Adeline Grattard (Yam’Tcha) est fermé, la boutique voisine continue d’envoyer à flux tendu ses succulents bao. Des ovnis franco-chinois peaufinés comme des œuvres d’art, à dévorer en version salée ou sucrée (4 € pièce, 18 € les cinq). Notre préféré ? L’indétrônable au stilton (fromage bleu anglais) et cerise amarena : osé mais délicieux, à déguster en pairing avec les thés fins chinés par Chiwah Chan (5 € la boisson). A glisser aussi dans le cabas : sublimes théières et accessoires de thé de compétition pour plier le game du Kung-Fu Cha !
Mode d’emploi ? Vente à emporter du mercredi au samedi, 12h-18h. Précommande à remplir ici.
Quelle vibe ? Loin d’être une bernique, Bertrand Larcher, serial crêpier, a quitté son rocher (Saint-Malo) pour ouvrir des crêperies dépoussiérées au Japon et à Paris. Six aujourd’hui, rien que dans la capitale ! Ses crêpes salées ou sucrées sortent du lot, notamment grâce à la qualité extrême du sourcing : légumes Terroir d’Avenir, épices Roellinger, beurre baratté par Maître Bordier, algues wakamé cultivées à Saint-Malo… La cave n’est pas en reste : outre une palanquée de cidres artisanaux, elle aligne les plus beaux vins naturels/biodynamiques (Henri Milan, Christophe Pacalet, Marcel Deiss…) Hisse & ho : sur les six, cinq de leurs crêperies parisiennes restent ouvertes pour la vente à emporter (y compris Abbesses, qui a ouvert un peu avant le confinement et qu’on n’a même pas eu le temps de chroniquer). A noter que vous pouvez aussi y acheter caramels, confitures et tuiles de sarrasin).
Mode d’emploi ? Vente à emporter dans ces cinq restaurants : Abbesses, Batignolles, le Marais, Odéon et Paul Bert (à noter que Montorgueil reste temporairement fermé). Livraison possible à domicile ! Commander via leur site ou sur Deliveroo.
Quelle vibe ? Et de deux ! Après avoir régalé la smala foodie dans son génial restaurant Eels, Adrien Ferrand, moins de 30 piges au compteur, voit double et ouvre son nouveau restaurant à quelques enjambées de là. Pour l’occasion, il s’associe à son ancien second, Galien Emery, et signe une carte qui joue à saute-mouton avec les frontières d’Asie (Chine, Malaisie, Indonésie, Thaïlande…). On n’a pu tester l’offre qu’en click & collect… Mais même à la baraque, comment dire ? C’était d’la bombe, bébé ! A l’image de ces régressifs et malins sushis de cochon laqué servis par quatre (10 €). Ces fondantes aubergines et tofu grillés, à trempouiller dans sa sauce gochujang (9 €)… Ce crab cake so LA à dipper dans sa sauce vierge au saté (13 €). Ou encore ces raviolis grillés aux champignons et leur bouillon tom kha (9 €). En finish ? Un coquin cake coco, caramel et cacahuètes (5 €).
Mode d’emploi ? Click & collect dispo tous les jours, midi et soir. La commande se fait sur le site Internet du restaurant. Pour les livraisons ? Rendez-vous sur l’application UberEats.
Quelle vibe ? Un trois en un qui décoiffe, à la fois salon de thé hongkongais, bar à wonton et bistronomique chinois… Bonne nouvelle : aux Halles, l’ovni d’Adeline Grattard régale même en pleine crise ! A piocher à la carte et dévorer à la casbah ? Un duo de nems (5 €) tout sauf classiques : aux légumes « Singapour » d’un côté, et poulet/courgette/shiitakés de l’autre. Mais aussi : des raviolis et dim sum à gogo (8 € les cinq pièces), ou en entrée un lo mai fan (riz gluant/pétoncle/cacahuètes, 12 €) trop rare à Paris. Côté glouglou ? Des thés triés sur le volet (5 € chaque), à l’instar de ce Pu Er Millésime Shou Cha.
Mode d’emploi ? Take away du mercredi au samedi, en continu (12h-20h). Menu et commande en ligne.
Quelle vibe ? Pizzas délicieuses, fourbies de main de maître dans un vrai four à bois traditionnel venant directement de Naples… Sorti de l’œuf en 2019, ce génial et géant ovni (resto-comptoir cocktails-café-pizzeria-boulangerie !) squatte 1 500 m² d’un ancien hangar d’antiquités, avec déco chinée-chiadée façon puces de Saint-Ouen. Tout ça à deux pas des studios d’enregistrement de la Plaine-Saint-Denis, et un jet de vélib du Stade de France. Big up pour les prix, tenus en laisse : les disques d’or vont de 7 € à 14 € (carte ici). Et forza Grand Paris !
Mode d’emploi ? Click & collect et livraison via Just Eat et Deliveroo (“Pizza Sauvage by Cantine Sauvage” sur Deliveroo). 177 avenue du Président Wilson, 93210 La Plaine Saint-Denis. 01 58 34 60 56.
Quelle vibe ? Le Chateaubriand, bistrot-gastro-parigot drivé par le keupon Iñaki Aizpitarte, remet le couvert avec une offre à emporter. Le chef vend ses plats dans l’annexe mitoyenne : la cool cave à vins naturels Le Cave. Sous vide, prêts à cuire, à conserver longtemps ou consommer sur le moment ! Exemples ? Dorade royale pour deux, fournie avec thym, laurier, citron, vin blanc et huile de garrigue… Ou épaule d’agneau confite, juste à réchauffer dans son jus de cuisson, flanquée de fenouil braisé, chou, anchois… Entrées dès 7 € et plats du jour entre 13 € et 20 €. Et bien sûr, vous n’aurez que l’embarras du choix pour trouver la quille qui va avec ! Idée de génie : le chef a installé au beau milieu de la salle fermée au public un four à pizza électrique, qui dépote de la disquette à prix mini (9 € à 12 € la pizza). Bien vu : pour 3 € en plus, ajoutez une eau aromatisée et une salade verte.
Mode d’emploi ? Uniquement à emporter pour le moment, du mardi au samedi 12h-15h et 18h-21h30 (dimanche 18h-21h30). Commandes par téléphone (01 43 55 06 74) ou sur place.
Quelle vibe ? Il fut un temps où Ann enchantait la rue Mouffetard avec ses recettes du Sichuan à base de nouilles préparées à la mano, en soupe ou sautées au wok. Elle a aujourd’hui rejoint la rive droite et troqué ses « nounouilles », comme elle les appelait alors, contre des dim sum, soit ces petits raviolis chinois cuits à la vapeur. Tout est fait maison, sans glutamate et bio (farine, fruits et légumes) ! Miam miam : la soupe de nouilles au poulet fermier (12,90 €) ; le menu dim sum star (13,90 €) : huit vapeur (veggie, crevette, calamar, porc), plus deux accompagnements au choix.
Mode d’emploi ? Ventes en click & collect dans les deux établissements (rue de l’Echiquier et rue de Paradis) jusqu’à 18h. Carte ici. Livraison jusqu’à 21h sur Deliveroo ou via leur propre service livraison.
Quelle vibe ? Repris par Masahiro Kawai, chef nippon et keupon tatoué de partout, ce bistrot franchouillard fait de la résistance ! En bon disciple d’Yves Camdeborde, l’ultra-talentueux Masa se concentre sur l’assiette, laquelle se passe des modes et réconforte l’âme : une cuisine de mère nourricière, ou plutôt de mère-grand, française, espagnole, bretonne… C’est gourmand, généreux, mais aussi d’une technicité irréprochable (notamment les pâtisseries : paris-brest ou mont-blanc d’anthologie en ce moment, à 5 € chaque !)… A signaler aussi, un bête de poulet frit japonais (karaage) à 8 €.
Mode d’emploi ? Les plats se commandent via ZenChef et sont à récupérer au resto, entre 11h30 et 19h.
Quelle vibe? Cap’tain Grébaut, ancien de Passard, Robuchon (et du collectif Kourtrajmé !) maintient le cap contre vents et marées. L’annexe marine du gastronomique Septime, branchée pêche artisanale et durable, passe en mode traiteur, avec vitrine réfrigérée sur le bitume ! Dans ses filets ? La dose d’oméga 3, avec notamment de maousses plateaux de fruits de mer, avec une came livrée Emmanuelle Marie, pêcheuse de homards et poissonnière, militante des fonds marins ! A noter que Septime La Cave est à une minute à patte. Histoire de ramener à fond de cale des vins naturels castés dans le monde entier !
Mode d’emploi ? Take away et click & collect. Plateaux de fruits de mer à commander jusqu’à midi le jour J (pour retrait de 17h à 19h).
Quelle vibe ? Au rayon des meilleures planques à brunchs de la capitale, Guillaume Gil et son Colorova squatte depuis des années le eat-parade ! C’est ici, dans le 6e chicos, que le salon de thé accueille depuis des années tout ce que Saint-Germain-des-Prés a de lève-tard. Crise sanitaire oblige, le bonhomme n’a pas chômé et vous a mitonné un brunch à la maison qui tape toujours dans le mille. Et tout un tas de sandwichs bien foutus. Parmi ceux testés dans la formule, sa version du smash burger : viande shoppée à la Boucherie Grégoire et fourrée dans un bun maison, avec vieux cheddar, salade romaine, oignons frits et pickles d’oignons rouges… Mais aussi, tout aussi convaincant, le Schnitzel day et son pain brioché, fourré de poulet pané, julienne de carotte, pickles de butternut, le tout peinturluré d’une bonne sauce tzatziki. Ou encore, toujours dans le Levant, ce très réfléchi Falafels dwitch : falafels de pois chiche et lentilles du puys frits à l’avoine (modèle du genre), artichauts et choux fleurs rôtis, topé d’aïoli et pickles d’oignons rouges… Bravo ! Pour la glycémie ? Une brioche perdue tout sauf sécos et la pâtisserie phare du chef, le Paul Sésame au citron, crème de sésame noir et mousse de citron jaune. Ou le mythique flan (quand il est sur la carte), classé par nos soins parmi les 75 plats iconiques qui font Paris.
Mode d’emploi ? Formule à partir de 16 €. A emporter ou en livraison sur le site de Colorova, du samedi au dimanche, de 10h à 15h.
Quelle vibe ? A Montmartre, le Coq Rico est LE repaire incontesté des amateurs de belle volaille. Pour 58 €, faites bombance avec cette pintade Perle Noire entière de Gabriel Simon (La Ferme de la Galotière), élevée 150 jours… Pochée au bouillon puis rôtie à la broche, à arroser d’un jus succulent et de vin ! Pour le reste : canettes de la Dombe ; volaille de Bresse ; cou-nu des vignes de Bourgeuil (une rareté, élevée jusqu’à 180 jours)… Ou, plus accessible, toute une kyrielle de bons p’tits plats : burger de volaille (12 €) ; mac & cheese à la truffe fraîche du Vaucluse (12 €) ; purée à la truffe du chef Westermann (10 €) avec bouillon de volaille et noix de muscade… Bien vu pour la planète : eco-livraison à bicyclette via STUART et packagings compostables et biodégradables.
Mode d’emploi ? À emporter (98 rue Lepic, 18e) ou en livraison. Pour une livraison au-delà de 3 km du Coq, pensez à réchauffer le contenu de votre commande. Dernière prise de commande à 20h20 maximum.
Quelle vibe ? Sis à Anvers, en face de Mamiche, ce discret mais excellent resto abrite un duo au sommet : Takao Inazawa, chef nippon inspiré (ex-Verre volé), assisté en salle et à la cave de Benoît Simon, ancien du Septime et Chateaubriand. A grailler ? Des petites assiettes dans la veine habituelle, la plupart à tapasser avec les doigts… Idéal pour pimper votre plateau télé de confiné(e) ! Exemple ? Friture de caille et poulet frit (fermier) façon karaage (10 €) ; boulette de poulpe à la béchamel jap’ (8 €)… Mais aussi des plats plus consistants, à mi-chemin entre le bistrot français et l’izakaya (11-16 €). A l’instar de ce couscous d’agneau de Normandie complètement Asie-muté avec sa sauce yuzu kosho (15 €). Big up aussi pour le katsu sando (12 €), sorte de club sandwich nippon au porc pané et frit, coincé dans deux tranches de pain de mie. A boire ? Une bonne vingtaine de bouteilles de pif naturel/biodynamie, toutes impeccablement castées, et à prix caviste (de 13 à 35 €).
Mode d’emploi ? Carte en ligne ici. Commande sur place ou par téléphone, au 01 44 63 75 64 à partir de 14h, du mardi au samedi soir (réservation minimum une heure à l’avance). Retrait à heure fixe : 18h30, 19h30 ou 20h30.
Quelle vibe ? La maison mère à deux enjambées du très hype concept-store Merci reste de loin le meilleur des opus de M. Cheng (également aux manettes de Trois Fois plus et Cinq Fois plus). Plus de Piment propose des plats sautés sichuanais, 100% maison, 100% piment ! Choisissez votre niveau : de 0 pour les plus frileux à 5 pour les plus téméraires. Attention, ça pique vraiment : le niveau 2 est déjà très épicé ! Plats cultes ? Le kungpao poulet (12 €) ; la rougeoyante marmite de poisson (panga), ciboulette, coriandre, ail, gingembre (17,30 €) ; et le bœuf sauté au poireau et piments au vinaigre (11,40 €).
Mode d’emploi ? Vente à emporter et livraison (Deliveroo, Uber eats, Just Eat et Glovo)
Quelle vibe ? Le deuxième resto des sistas Levha (voir la bio de Tatiana ici) remixe à sa sauce bistronomique des spécialités asiatiques, en mode dirty finger food, sur fond de vin naturel. Une relecture (ré)créative, souvent twistée par une touche européenne, signée du chef Antoine Villard (ex-Septime, Fulgurances…) Covid oblige, le spot mute en traiteur Double Dragon ! A manger à la casbah ? Les plats signatures du resto, au poids, mitonnés sur place avec des produits bio ou issus d’agriculture/pêche/élevage raisonné(e). A vous le chirachic aux crevettes des marais, saumon Label Rouge et Saint-Jacques crues… Ou ces brioches vapeur au porc d’Auvergne confit caramélisé (une moelleuse paire de boobs surmontée d’un téton rouge).
Mode d’emploi ? Traiteur tous les jours, de 11h30 à 19h (jusqu’à 15h le dimanche). Click & collect de 9h à 15h pour le jour même (sauf le dimanche). Livraison dans tout Paris entre 18h et 20h.
Quelle vibe ? Dans ce minus spot façon drive à burger, Dumbo continue de régaler à flux tendu tout le 9e branché, qui vient ici s’agglutiner pour repartir avec le Graal : les fameux smash burger — soit de juteux steaks de montbéliarde aplatis à la pelle, pour faire ressortir tout leur goût. A la carte, courte comme un haïku ? Deux options seulement, à 9 €, flanquées dans des buns bien toastés de chez Rachel’s : un American Cheese avec petite salade, oignons, pickles et sauce spéciale orangée…. Ou un Classic Cheese, avec double ration de fromage ricain et salsa ketchup-moutarde. Pour accompagner ces p’tites merveilles : des frites double cuisson (3 €) et une bière tahitienne-mais-brassée-en-métropole qui pique un peu (4 €). Attention, victime de leurs succès, les burgers partent vite. Très vite. Trop vite.
Mode d’emploi ? Livraison via Deliveroo. Du lundi au samedi, de 12h à 14h30 et de 19h à 21h30. A emporter : commandez directement au restaurant. Paiement sur place uniquement par CB. Attention, les burgers sont souvent en rupture de stock avant 21h.
Quelle vibe ? Dans la (très hype) catégorie des smash burger, le Deli- coffee shop Echo sort du lot, avec un très sérieux double smash burger (12 €). Soit deux steaks croustillants qui respectent parfaitement la technique du smash — comprenez un patty de bœuf haché, consciencieusement aplati pour en pour faire ressortir le goût—, planqué dans un Martin’s Potato Rolls (le même bun que la mythique chaîne new-yorkaise Shake Shack) et flanqué de cheddar, tomates, oignons, salade iceberg, pickles et sauce secrète. Pour accompagner la bête ? Des pommes de terre au zaatar (5,50 €) et un thé glacé pêche-citronnelle (6 €). Et Just Friends de Musiq Soulchild.
Mode d’emploi ? Commande le soir via Uber Eats et Deliveroo.
Quelle vibe ? Le restaurant d’Adrien Ferrand qui, avec son second Galien Emery, a lancé cette année Brigade du Tigre. Avertissement : le menu (léchez l’écran ici) peut vous provoquer une fracture de la rétine. Rhaaa, ce plat à base d’anguille au beurre noisette et à la réglisse (14 €)… A signaler, des desserts spécial gros gourmands, à boulotter en tout temps, à l’instar de ces cookies choco/sésame (6,50 €) ou de ce gâteau au chocolat, cacahuètes et caramel beurre salé (6,50 €)… Egalement dispo pour deux, trois ou quatre gloutons !
Mode d’emploi ? Vente à emporter et en click & collect via Tiptoque (du mardi au samedi midi, 12h-14h30 et 18h30-20h). Livraison possible (+ 9,90 €) ou via UberEats. What Eels ?
Quelle vibe ? La franco-grecque Mikaela Liaroutsos a fait ses classes chez Michel Rostang, puis au sein de la brigade de Cyril Lignac dans son gastronomique de l’époque, Le Quinzième. Avant de lancer sa propre affaire, Etsi (« comme ça » en grec), relecture toute personnelle d’un héritage hellénique. Oubliez ouzo, sirtaki, feuilles de vignes farcies et assiettes éclatées au sol. Loin de tout folklore, cette trentenaire dresse le tentacule de poulpe (grillé à la purée de fève) comme personne ! A ne pas rater : le souvlaki (‘dwich grec), le tarama maison et le (sublime) baklava.
Mode d’emploi ? Vente à emporter, du mardi au vendredi ; 12h-14h30 et 17h-20h. Samedi, 11h-20h. Click & collect : www.etsi-paris.fr.
Quelle vibe ? Si les foufous de Greg Marchand avaient largement de quoi s’éclater entre Paris et Covent Garden, ils peuvent désormais déguster le Graal depuis chez eux. Le chef balance désormais dans tout Paris une popote gastronomique décomplexée, qui change chaque semaine. Au programme ? Un menu gastronomique en trois ou quatre temps ( 42 € et 48 €). Mais aussi des plats à partager (terrine de campagne, scone au bacon…) et autres joyeusetés (demi-miche de chez Thierry Breton + beurre Bordier à 6 €). Et toujours à dispo : élixirs rouges, blancs, champagnes et autres bulles de vie ! On a-do-re.
Mode d’emploi ? Menu hebdo à commander en ligne sur Tiptoque, et à retirer au resto rue du Nil (2e) à 18h ou 19h ; ou faire livrer chez vous (+12 € sur Paris intra-muros). Une notice du chef est glissée dans chaque commande pour vous accompagner sur la cuisson et le dressage.
Quelle vibe ? Le fast-good du chef étoilé Grégory Marchand rejoue à sa sauce des classiques de la street food londonienne et new-yorkaise. A vous pulled pork ou fried chicken sandwich ou encore de délicieux Reuben pastrami (12,15 € chaque). A signaler pour les mordus de poulet frit, un excellent Chicken Bucket Spicy au bon poulet fermier, mariné au lait ribot puis pané et pimenté comme il faut (12,60 €). Grosse dalle post GDB ? Rajoutez une barquette de frites épaisses maison en trois cuissons (4,05 €) ou bien ce porn mac’n cheese (5,40 €) avec sa sauce crémeuse au cheddar anglais. Dessert ? Du genre léger : fameux scones au bacon croustillant et sirop d’érable (3,15 €) ; gros cookie moelleux au chocolat et praliné cacahuète (4,50 €) ou moins classique mais intense crème au chocolat noir huile d’olive extra-vierge et fleur de sel (4,95 €).
Mode d’emploi ? Ouvert en vente à emporter et livraison (Deliveroo et UberEats) du mardi au dimanche 11h-21h30. www.frenchie-ftg.com.
Quelle vibe ? Ce p’tit coffee shop stylé régale avec des plats mitonnés sur place à partir d’ingrédients de qualité, et en circuit court autant que possible. Par ici le banh mi dog (12 €), revisite goûtue du classique vietnamien ! Ou bien ce pastrami de boeuf, fourré dans un bun brioché, garni de cheddar, sauce magic cocktail, pickles de concombres et pousses (11 €). Mais aussi : salade de lentilles vertes aux marrons, puntarelle, topinambours rôtis, pesto de roquette graines de courges, granola et zaatar (12 €) ; carrot cakes aux super-épices Nomie (5 €) ; et cookies bien cochons, notamment celui au chocolat et fleur de sel (3,50 €). Pour info, Gramme se la joue aussi épicier : à vous gomasio maison (6 €), sauce picalilli (6,50 €) ou encore ce providentiel cookit (15 €), qui vous permettra de mitonner de 12 à 15 cookies.
Mode d’emploi ? Resto en take away du mardi au vendredi, 11h30-15h. Et épicerie livrant à domicile, du mardi au samedi, 15h-18h (dernière prise de commande). Site Web.
C’est à l’angle de la rue Sainte-Anne et de la rue Saint-Augustin que le tandem malin Marie Carcassonne et Frédéric Peneau (ex-Chateaubriand) a accouché de ce kebab de luxe : pain maison (farine blanche d’épeautre bio), salade et herbes fraîches (menthe et coriandre, sourcés chez Annie Bertin) mais surtout viande sélectionnée par le boucher-star Hugo Desnoyer. Comme ce veau de lait mariné dans une sauce romarin-soja-saké… Le tout est à accompagner de frites maison, tout en glougloutant une bonne bière Gallia. Psst : Grillé voit désormais triple et s’est installé jusqu’à… La Défense !
Mode d’emploi : A emporter à l’heure du déj, dans l’un des trois restaurants (Saint Augustin, Montorgueil, La Défense). Ou en livraison sur Deliveroo et Uber Eats.
Quelle vibe ? Vous croyez n’avoir jamais goûté une pizza aussi bonne qu’à Naples ? Ça, c’était avant que Guillaume Grasso, issu d’une famille de pizzaïolos napolitains (la célèbre pizzeria Gorizia, née en 1916), ne décide d’ouvrir sa propre boutique, planquée dans le 15e arrondissement. Ses disques d’or ? Tout en haut notre sélection des meilleures pizzas de la capitale ! « Même en difficulté, je respecte mon produit et je ne vendrai pas mon âme au diable à faire [de la] livraison pour de l’argent », balance le maestro sur son compte Instagram. Couillu ! Bilan : la seule façon de vous régaler avec ses pizzas de compète (mais aussi antipasti, desserts et vins), c’est en take away !
Mode d’emploi ? Vente à emporter uniquement, du mardi au samedi, de 12h à 14h30. Il est préférable de réserver la pizza en avance (surtout pour le week-end) au 01 45 33 83 83.
Quelle vibe ? Aux manettes de ce coffee shop en planque à deux pas de la gare Saint-Lazare, la jeune Hô Ly et son compagnon Nam Nguyen incarnent cette nouvelle génération de Vietnamiens fiers de leur héritage, souhaitant faire découvrir à l’étranger un savoir-faire gastronomique pointu, trop souvent méconnu. À emporter ? Leur ligérien bo bun (9 €) ou banh mi gourmet (7 €) taillé dans la demi-baguette tradition du Meilleur Ouvrier de France 2015, aka Farine&O… Mais aussi : une citronnade maison à base de citrons frais pressés du matin ou un thé du Vietnam (2 € chaque), un gourmand café du bled aux notes chocolatées (3 €), des chiffon cakes au pandan ou des gâteaux au manioc (3 € chaque). Formules à prix doux : 10 €, 12 € et 15,50 € !
Mode d’emploi ? Click & collect via leur e-shop.
Quelle vibe ? Holybelly 5 et Holybelly 19 se sont assemblés et sont devenus Hollybelly To Go. Mais fini l’éreintant 6 jours sur 7 ! La team ressert son offre sur 3 jours, le jeudi, vendredi et samedi. Au menu ? Tortillas de maïs, purée de haricots noirs au chipotle, queso fresco, tortilla de patatas aux œufs bio, salsa et guacamole. Mais aussi noix de veau d’Aquitaine façon schnitzel, purée de pomme de terre, petits salsifis au beurre, condiment câpres et oignons rouges. Sans oublier les mythiques pancakes à toper de bacon et sirop d’érable bio. Instructions de réchauffage/ recyclage des contenants super bien expliqué en story Insta.
Mode d’emploi ? Livraison éthique (35 € d’achat minimum, 2h à l’avance minimum) ; click en collect et take away sans minimum d’achat via https://linktr.ee/holybellycafe. Ouvert du jeudi au vendredi, de 11h30 à 14h30 et le samedi de 9h30 à 14h30.
Quelle vibe ? Homer Lobster ? Tout simplement le meilleur lobster roll de la ville, classé dans notre hit des 75 plats incontournables qui font Paris. Moïse Sfez est un puriste qui ne travaille qu’avec les meilleurs crustacés du monde : du homard breton bleu. Dans le dwich, ça donne des morceaux de homard dans un pain brioché : petit luxe pour très gros kif ! Brioche parfaitement beurrée et toastée, crustacé légèrement confit dans un beurre citronné chaud, relevé par un mix d’herbes secrètes… Extra.
Mode d’emploi ? En livraison tous les jours, dans tout Paris intra-muros, via Deliveroo. Take away sur place possible (7/7, de 12h à 23h, en continu).
Quelle vibe ? Dans son sas de poche, Takuya Watanabe (une étoile au guide du pneu) continue de réciter ses gammes venues tout droit de Niseko (dans le Grand Nord japonais). Pendant la fermeture des restos, le bonhomme — pour ne pas dire le colosse — balance un menu omakase spécial sushi et sashimi à partir de 80 €… De quoi faire chauffer votre CB (tout en décollant votre mâchoire) ! Mais le prix en vaut la chandelle : après avoir dégainé ses lames en mode Kill Jin, Taku enfile sa casquette de maître sushi, mature ses poissons de premier cru (tous en provenance de Bretagne, d’Oléron et d’Espagne), travaille un riz cuit à 37° C et joue de sa dextérité pour assembler et assaisonner le tout. Au programme, selon l’humeur du chef, donc : langue d’oursin, turbot, thon rouge, chinchard, sériole… Tout est précis et fondant, à dévorer avec les mains tout en mâchant le gingembre brun entre deux coups de crocs (voilà pour l’instant tuto). A noter, pour les budgets plus serrés, la possibilité de goûter un curry (plat populaire au Japon), composé de riz blanc, d’un œuf parfait et d’une sauce curry qui change chaque semaine ! Comptez 15 € par personne.
Mode d’emploi ? Click and collect avec retrait sur place de 13h à 17h du vendredi au dimanche, ou livraison via Stuart (15 €)
Quelle vibe ? Après avoir noirci son casier culinaire dans la maison-mère de William Ledeuil (Ze Kitchen Galerie), l’agent Martin Maumet, 27 piges au comptoir, prouve avec KGB qu’il a tout d’un (très) grand, envoyant du plat-signature à la maison (les fameux « Zors-d’œuvre ») sans déroger à ses principes : justesse des assaisonnements, réflexion vétilleuse des goûts et des associations… La preuve avec le menu asiatisant (60 € par personne) en quatre temps, qu’il avait balancé pour régaler les tourtereaux pendant la Saint-Val : noix de Saint-Jacques marinées, salade d’hiver, yaourt et citronnelle ; génial terre/mer avec raviolis de foie gras, dashi de champignons, miso et algue nori ; boeuf Wagyu confit, crème de céleri truffé, tamarin, moutarde violette… Et, en clou du spectacle, financier à la pomme, agrumes confits et crème mascarpone.
Mode d’emploi ? Pour commander : A commander sur le site de KGB. Puis click & collect ou livraison les 12 et 13 février.
Quelle vibe ? Depuis 2013, une des meilleures planques à udon de Paris ! Traduire, ces grosses nouilles japonaises que l’on déguste en soupe, chaude ou froide (12-24 €). Des udons mais pas que : quelques sushis (8-14 € la paire), une petite collec’ de donburi, ces grands bols de riz garnis de tout un tas de bonnes choses (20-28 €)… Et puis ces petits luxes : sashimi de toro (thon gras) à 28 € ; assortiment de tempuras (beignets à fine panure, 24 €)… Et grillades en fonction des arrivages du jour : poisson (30 €) ou bœuf waygu (60 €). De quoi nous faire oublier le seum du confinement !
Mode d’emploi ? Ouvert 7/7 en vente à emporter : 11h30- 16h. Commande au préalable par téléphone : 01 47 03 33 65. Carte ici.
Quelle vibe ? Boiseries à l’ancienne, banquettes rouges, carte franchouillarde… Formé pendant plus de dix piges par le pape de la bistronomie (Yves Camdeborde), le Breton gouailleur Stéphane Jégo a repris en 2004 cette ancienne institution basque, sans rien toucher ou presque du bouclard. A la carte ? Un menu gastronomique « Jego to Go » à 45 €/personne, alignant deux entrées, un plat et un dessert. Mais aussi quatre bols aux bouillons divinement parfumés… Hommages à la cuisine médicinale d’Asie — le fameux phô vietnamien, qui réchauffe l’âme et le corps (de 18 € à 25 € chaque). Et encore ? Un ris de veau rôti au beurre demi-sel baignant dans son jus de réduction (34 €/personne) ou ce dos de cabillaud vapeur flanqué de carotte, cumin, céleri (24 €). Sans oublier quelques intitulés à partager en duo : cochon de ferme rôti (78 €, pour deux personnes) ou cultissime riz au lait (15 € pour deux). Côté jaja, deux quilles de blanc (31 et 45 €) et trois rouges au choix (32 € à 85 €).
Mode d’emploi ? Résa la veille ici, et au téléphone (01 47 05 86 89). Livraison via Tiptoque du mardi au samedi, 10h-20h (12 €). Retrait sur place (gratuit) au 27 rue Malar, 7e.
Quelle vibe ? A deux pas de l’avenue de Clichy, un aquarium jaune soleil tout en surface vitrée. Attention, pépite ! Zen derrière sa cuisine ouverte, le samouraï Taiki Tamao (un ancien de Marc Veyrat) s’inspire du répertoire français pour dégainer des assiettes au cordeau, précises et surtout pleines de gourmandise. Bien vue : la carte, qui change chaque semaine pour ne pas lasser une clientèle d’habitués. Exemple ? Velouté de lentilles Béluga, jambon Serrona et graines torréfiées (7 €) ; tagliatelle aux crevettes, crème au piment fumé et légumes croquants (16 €) ; mousse à la vanille, crème de marrons et coulis de fruits rouges (7 €).
Mode d’emploi ? Commande par téléphone du mercredi au samedi 10h-17h : 09 53 75 67 71. Retrait des commandes du mercredi au vendredi de 12h à 14h et de 16h à 18h. Le samedi, de 16h à 18h et le dimanche de 11h à 13h. Carte en ligne : www.le-975.com
Quelle vibe ? Le resto-labo immaculé d’Iñaki Aizpitarte, également aux manettes du voisin Chateaubriand, demeurait jusqu’ici clos. Mais dans la rubrique « comment se renouveler en temps de crise », après avoir transformé son gastropunk en pizzeria, voilà que le chef basque le plus barge de Paname donne dans l’Asie-muté. A la carte, non plus des tapas mais une maligne carte asiatisante, des plus alléchantes. Mapo tofu à la sichuanaise au riz jasmin, flan de tofu et échine de porc fermier (13 €) ; soupe de raviolis de canard (avec bouillon de coin-coin itou, rare à Paname !), gingembre et citronnelle, choux poireaux, céleri et carottes (12 €)… Sans oublier, cette p’tite salade de coriandre à prix doudou (4 €) qui rebooste les papilles : huile pimentée maison, sauce huître citron et piment.
Mode d’emploi ? Ouvert à emporter, du mardi au vendredi de 12h à 20h.
Quelle vibe ? Le troquet de Ménilmuche qui réconforte l’âme (et le bidon) continue de balancer ses bons p’tits plats qui tranchent dans le net et le vif. Le menu changeant tous les jours, au gré des arrivages, guettez leur Instagram ! Prix plus que sages : bao au porc et kumquat (4 €); risotto de champi et crème de carottes (11 €) ; sandwich kefta, sauce yaourt/menthe et pickles (8 €) ; moelleux au chocolat (4 €)… Tout ça à fourrer dans une formule entrée/plat à 15 € (18 € avec le dessert, moins 1 € si vous vous pointez avec un contenant !) Le vendredi soir, le resto met en rab à l’ardoise une multitude de grignotages pour l’apéro : croquetas, accras, jambon de bellota, tarama artisanal, rillettes de poissons etc.. Autre très bon point : la cave qui s’emporte à prix caviste, soit plus de 90 références à découvrir.
Mode d’emploi ? Take away du lundi au vendredi, de 12h à 15h30, et le vendredi soir, 18h30-21h. www.lejourdain.fr
Quelle vibe ? A Jules Joffrin, deux anciens du Chateaubriand ont (re)pris le Maquis ! Paul Boudier, ex-second d’Iñaki Aizpitarte pendant sept longues années, et Albert Touton, associés à leur Calabrais de voisin, Salvatore d’Il Brigante. Le soir et samedi midi, c’est à l’ardoise (ramassée et à prix sages) que ça se joue. Big up pour les entrées à 5 balles : salade de betteraves/ feta ou velouté de céleri et œufs de brochet fumés… Deux plats du jour à 12-13 € (rigatoni à la poutargue ou chou farci et écrasé de pommes de terre). Idem côté sandwiches : à chaque fois, une version veggie – falafel sauce tahini, chou-fleur, chou rouge cru, menthe et pickles (8 €). Et version carnée : kefta, pickles de navet, sumac, oignons rouges et guindillas, ces petits piments pepsy (9 €). Desserts ? A prix doux itou ! Comme ce riz au lait caramel beurre salé ou ce crumble pommes/poire, 5 € chacun.
Mode d’emploi ? A emporter du lundi au vendredi, 12h à 15h
Quelle vibe ? Autoproclamé meilleur burger-en-ville (“Best Burger In Town”), le Ruisseau délaisse les superflus pour se concentrer sur ce qu’il sait faire de mieux : le burger. Des produits de qualité, avec un pain fait sur place deux fois par jour, une viande juteuse de vache limousine qui a connu l’herbe, et ça se sent ! Les recettes ? Des classiques – indémodable cheeseburger, BBQ burger, chicken burger – mais pas que : comme ce Veggie Burger (au steak de pois chiches) ou le Fish Burger (au lieu noir pané)… Et surtout, notre chouchou : le Tom Burger (tomme de vache au cidre fondue, viande de boeuf, moutarde, oignons confits), à accompagner de frites croustifondantes (cuites en deux bains) et d’une bonne bière Myrha (Goutte d’Or). Formule burger/frites à partir de 13 €.
Mode d’emploi ? En livraison via Deliveroo midi et soir jusqu’à 21h30. Et à emporter dans les trois adresses, tous les jours, 12h-14h et 19h-21h30 (Le Ruisseau 18e est fermé le lundi à l’heure du déj)
Quelle vibe ? Youpi ! Après une longue période d’hibernation, la team saucisse-purée est de retour aux fourneaux ! D’un côté, Tristan, expert en vin nature/biodynamie, qui continue d’écouler ses bons flacons. De l’autre, son compère Thomas, chef hors pair, qui régale à grands coups de classiques ménagers, généreux et jamais mous du genou. Surveillez leur Instagram : c’est ici que les menus seront postés. A l’instar de ce très bon tiramisu (6 €) ou de l’incontournable terrine des Arlots, abricots et noix (8 €). Également vu passer : le tarama maison d’espadon fumé (5 €) et la grosse caillette dans son jus et gratin dauphinois (16 €)…
Mode d’emploi ? Commande au 09 87 76 27 49 ou par mail (lesarlotssemportent@gmail.com). Plats à récupérer du mardi au samedi : chauds de 12h à 14h30 ou froids/à réchauffer à la maison, le soir jusqu’à 18h. La cave est ouverte de 12 à 18h.
Quelle vibe ? Hourra ! L’estaminet naturiste de Michael Grosman (ex-Soma) et Masahide Ikuta (ex-Table) n’a pas dit son dernier mot ! Cap, pour ceux qui le peuvent, sur le marché des Enfants-Rouges. A ramener dans votre besace, en direct de leur affolant comptoir : une street food ultra-quali, des vins nature à prix caviste (all day long) et les meilleurs produits de l’Hexagone, côté épicerie fine (dont le retour des fameuses huîtres bretonnes !) Bien vu : ce burger de côte de bœuf maturée 7 semaines, garni de câpres et anchois de Sicile, avec oignons compotés, céleri rémoulade et ketchup basque… Également en version fish deluxe : de la bonite de ligne confite minute entre deux buns. De quoi se rouler par terre (mais vous n’êtes pas obligés).
Mode d’emploi ? Take away du mardi au dimanche, de 10h à 15h, commande par tél : 01 40 24 01 43 ou 06 69 99 21 21. www.lesenfantsdumarche.fr.
Quelle vibe ? Dans une rue placide sise face au génial CND, à dix minutes à pied de la galerie d’art contemporain Thaddaeus Ropac, ce zinc rutilant à l’élégance 50’s et aux banquettes bleu canard compte parmi nos gros coups de cœur. L’assiette ? Bistrotière mais high level, mijotée par deux pointures : le Pantinois Walid Sahed (ex-Bristol), assisté d’Antonin Mandel (Shangri-La, Ze Kitchen Galerie). Tous les menus sont publiés la veille sur leur compte Insta @lespantins.
Mode d’emploi? Du mercredi au samedi, 10h-15h et 17h-18h. Précommande conseillée au 01 57 14 38 74. https://lespantins.business.site.
Quelle vibe ? Quand Yves Camdeborde, inventeur de la bistronomie et taulier à l’Avant-Comptoir du Marché, nous conseille un resto, on est tout ouïe. Quand il nous le vend, en plus, comme le meilleur couscous de Paris, on fait carrément exploser notre jauge de satisfecit. La taulière, Marie-Josée Mimoun, continue de sourcer la crème de la crème des produits pour mitonner des plats à prix réglo : épices de la maison Thiercelin, agneau de lait des Pyrénées, huile d’olive fourni par Profil Grec, brick à l’œuf de poule de Marans et beurre de lait cru estampillé Pascal Beillevaire… La semoule ? Ultra fine et roulée à la main en trois fois, comme le veut la méthode traditionnelle, accompagnée d’un barnum de légumes croquants (pommes de terre, carottes, navets et courgettes). Compter 20-22 € pour un couscous. Niveau tajine (22 €) et méchouïa (12 €), là aussi ça envoie du lourd ! Big up itou pour le pain (maison et frais du matin), les pâtisseries orientales (home made), les glaces artisanales, sans oublier cette impeccable sélection de vins 100% nature avec nectars signés Alain Graillot (Maroc), Jean-Baptiste Sénat (Languedoc) ou encore Jean Foillard (Beaujolais).
Mode d’emploi ? Vente à emporter du mardi soir au dimanche soir. Site Web. 01 47 00 28 67.
Quelle vibe ? Grazie mille à Julien Serri, Franco-Calabrais à moustache flamboyante, premier à avoir importé à Paris deux des plus grandes joies de ce bas monde. D’un côté, la pizza portafoglio : une pizza pliée en quatre (comme un portefeuille, donc). De l’autre, le rotolò : une fine pâte, garnie, roulée serré. Big up : l’extrême qualité du sourcing, à l’image de ces tomates San Marzano DOP ou Piennolo (qui ont poussé sur les flancs du Vésuve)… Et la pâte ! Parfaitement maturée (minimum 24 heures) et cuite au four à bois : moelleuse, élastique, pas brûlée, aux rebords parfaits. A noter également, des pizzas classiques de 30 cm de diamètre (de 9 à 16 €), d’affolants desserts (6-12 €), quelques vins, sodas et binouzes italiens… Ainsi que plusieurs sympathiques formules entre potes ou en famille.
Mode d’emploi ? Ouvert du lundi au dimanche, de 12h-14h30 et 18h30- 22h. Vente à emporter et commande via www.magnalapizza.com. Livraison via Deliveroo.
Quelle vibe ? Antonin Bonnet, chef étoilé de Quinsou, également au billot de la Boucherie Grégoire, se lance dans la K-Food ! On savait la toque fan du pays du Matin-Calme (sa compagne est d’ailleurs Coréenne). Mais alors là, on est soufflés : mitonnés avec les produits de la boucherie voisine et des ingrédients bio et locaux, les plats sont une tuerie. Pageon (galettes à 10 €), soupe de mandoos – ces délicieux raviolis coréens, cousins des gyozas nippons (11 €)… Et surtout, ces plats familiaux trop peu vus à Paname, à l’instar de ce Bossam : un goûtu terre/mer mêlant poitrine de porc confite (cochon bien élevé, de la ferme de la Gruzardière), huîtres spéciales d’Artouan, radis au piment, et tofu vapeur (29 €). A piocher également, un crousti Korean Fried Chicken, avec volaille fermière bien sourcée (Dandieu), panure ligérienne mixant farine de riz gluant et épices, sauce KFC au gochujang et radis au vinaigre de curcuma (28 € pour 2 personnes). Big up pour les deux menus complets (entrée/plat/dessert) à 24 € chaque, qui dit mieux ? En option : bière brassée par Quinsou avec les blés anciens de Roland Feuillas (6 €) et trois quilles de vin autour de 25 €.
Mode d’emploi ? Commande minimum 2 heures à l’avance ici. Livraison du mercredi au samedi, 12h-14h et 18h-20h ; retrait sur place 12h-14h.
Quelle vibe ? Amis nippophiles, préparez-vous à slurper des merveilleuses nouilles maison à base de blé japonais, parmi les meilleures de Sainte-Anne ! En entrée, un quinté de gyozas au porc à 7 €, du poulet frit torikara (6 €), ou encore cet onigiri (riz fourré dans une feuille d’algue) au saumon (4 €).. Foulard vissé sur la tête, le samouraï Makoto Saegusa mitonne trois bouillons, du plus clair au plus épais, et du moins au plus salé. On vous demandera de choisir le vôtre : classique (succulentissime bouillon de volaille et de porc dégraissé, pour nous le meilleur, 14 €), shoyu (14 €), ou miso (umamiesque, mais bonjour le sel ! 15 €). Nouveau : préparez vous-même votre ramen grâce à leurs kits ! Nouilles à cuire, bouillon, et toppings, il ne vous restera plus qu’à suivre la notice, assembler les différents éléments… et fanfaronner sur Insta en mode “c’est moi qui l’ai fait !”. Pour la touche sucrée ? Un cheesecake jap’ à la pâte de haricot rouge (5,50 € la part). Et à boire, des bières Kirin (5 € les 25 cl), du thé vert bio, froid (4 €).
Mode d’emploi ? Ouvert en click & collect via le site du mardi au dimanche inclus, de 11h30 à 15h et de 18h30 à 22h30. Livraison via Uber Eats ou Deliveroo
Quelle vibe ? Après nous avoir régalés avec l’adresse historique de la rue des Ecouffes (4e), le chef israélien Eyal Shani a amarré sa géniale popote feuj du côté du canal Saint-Martin et des Grands Boulevards. Trois spots calqués sur le Miznon original de Tel-Aviv, qui envoient le feu ! Au menu ? Les habituels casse-dalle : pita à la viande (rhaaa celle au kebab agneau !), au poisson (Tunisian style !), ou veggie… Et aussi ces bons légumes rôtis : patate douce ou giga-tête de chou-fleur grillée.
Mode d’emploi ? A emporter sur place dans les trois adresses, ou en livraison sur UberEats.
Quelle vibe ? Après nous avoir collé les poils avec leur cultissime resto-coffee shop Mokonuts, Moko Hirayama et Omar Koreitem continuent façon Midas de transformer tout ce qu’ils touchent en or…gasme culinaire ! A deux coups de pédale de leur première adresse, ils ont rhabillé cette ancienne laverie, où ils servent chaque midi un très couru et orientalisant smash kefta burger (11 €) ! A l’intérieur ? Spicy mayo, oignons rouges, trévise… Possibilité de rajouter en rab du candal fondu (+1 €)… Quant à la viande ? Parfaitement smashée, juteuse et herbacée, elle mérite largement son coup de croc… Miam !
Mode d’emploi ? Plats à commander en click & collect sur mokoloco.fr, du lundi au samedi avant 17h, et à retirer au resto (4 rue de Charonne, 11e) de 11h30 à 15h30. Livraison sur Paris intra-muros pour le soir même, toujours via mokoloco.fr (attention, le site marche très mal).
Quelle vibe ? Quand un resto reste sans quasi bouger d’un iota pendant dix-sept longues années, il y a une raison. Dans le cas de Momoka, celle-ci se nomme Masayo Hashimoto, cheffe dont le talent n’égale que la gentillesse. Dans sa table d’initiés un peu à l’écart de Pigalle, vers Saint-Georges, cette native d’Osaka fait tout elle-même depuis 2003. Vraie découverte, sa cuisine très personnelle, goûtue, voyage entre Tokyo et Kyoto, avec çà et là des touches françaises. Par ici les bons bentos ! (16-30 €), donburi (15-30 €); udon (15-25 €); sushis et makis… Le clou du spectacle, ce sont les légumes de saison, que Miss Masayo mitonne comme personne : carottes orange et jaunes confites aux algues ; tomates sucrées en salade ; roulés d’aubergine au thon ; champignons eryngii et shimeji sautés, potimarron fondant à la sauce soja et au saké…. De quoi s’enjailler, se laisser surprendre et se régaler.
Mode d’emploi ? Commande via By Click Eat. Menus Sakura (39 €) et Momoka (49 €) uniquement dispos via commande téléphonique 24h avant retrait.
Quelle vibe ? Lancé en catimini du côté de Bourse (improbable !), reconnaissable à son logo psyché façon Robert Crumb, ce spot est un total et génial ovni, alliant disques vinyles, cuisine chiadée et vins naturels, dans la veine de In Sheep’s Clothing à LA ou Brilliant Corners à Londres. S’ il faudra encore attendre pour les Dj sets, en levant le coude au comptoir, la bonne nouvelle c’est quand même ce hot dog maison, avec un side au choix pour… 10 € tout rond ! Avec deux sauces, homemade itou.
Mode d’emploi ? A emporter du lundi au vendredi. Résa au 01 75 57 39 16.
Quelle vibe ? Aussi petit que la Sicile sur un planisphère (18 couverts), Mulino Mulè ne jure que par les blés anciens, importés des terres d’un des trois compères (Marco Mulè) et transformés sur place en farine pour préparer la pasta fresca… Idéal pour les “sans gluten” qui ne le sont pas tout à fait ! Pour picorer : saucisson aux graines de fenouil, concombre battaglione au vinaigre (10 €), caponata validée par Montalbano (7 €)… Et surtout : pâtes du jour (10 €), joue de bœuf réduite au nero d’avola avec couscous siculo (19 €) ou encore veau et son condiment tonnato (11 €). Conseil : gardez de la place pour les mini-cannoli, farcis à la ricotta et pâte de pistaches (8 €)
Mode d’emploi ? Plats à emporter et en click & collect du lundi au vendredi de 10h à 14h30. 09 54 75 92 07.
Quelle vibe ? Après nous avoir régalé avec un (déjà) culte fish and chips, le trublion tatoué Guillaume Sanchez (une étoile au guide du pneu) continue de réinventer son resto, poussant à fond le curseur de la street food. Cette fois-ci, le bonhomme débarque en terre amerloque en ajoutant à sa carte l’un des (cheese) burgers (14 €) les plus coquins de cette liste : un délicieux pain de farine paysanne (ça change du potato Bun) dans lequel se planque un steak de bœuf basque bien élevé, du ketchup, des graines de moutarde et une dose MONSTRUEUSE de cheddar maturé… Le tout est à faire passer avec les cocktails du chef : des revisites malignes des grands classiques, à l’image du très subtil Cosmos (vodka, Grand marnier, Cointreau, citron, fraise fermentée et infusion au thé noir). Comptez 45 € les trois bouteilles de 500 ml, sans DLC (!)— autrement dit, vous pouvez les boire quand vous voulez… A déguster très frais !
Mode d’emploi ? En livraison sur Uber Eats. Cocktails en exclu à la Grande Epicerie de Paris.
Quelle vibe ? Dans ces deux joyeuses ambassades de la Sicile, Giuseppe Messina, originaire de Cefalù (petite ville de pêcheur ancrée à quelques coup de pédale de Palerme) régale à grand coups de classiques ensoleillés. A la carte ? Des pizzas (14-20 €), mais pas que ! A l’instar de ces lingue di passero alla siciliana : des pâtes fines à l’ail rose, filets d’anchois, concassé de tomates fraîches, olives noires et câpres (18 €)… Produits du cru uniquement, castés avec soin ! Mention spéciale pour la torta de mamma Lina, la mère du chef (8 €).
Mode d’emploi ? Du lundi au dimanche, 12h-21h45. Plusieurs options pour vous régaler chez vous
Quelle vibe ? En attendant de rouvrir son vaste hall brutaliste façon escape game rétrofuturiste, OGATA — le génial temple dédié à l’art de vivre japonais imaginé par Shinichiro Ogata — débarque à la maison avec l’une des offres les plus convaincantes qu’on ait testé depuis la fermeture des restos. A l’image du menu ORIBEN Nori (30 €), ode à la tradition culinaire nippone, composé de produits de saison tout en couleurs, dressés dans une belle boîte en bois naturel. Pour citer la pléthore d’ingrédients, il convient de prendre sa respiration plusieurs fois : truite saumonée grillée et marinée à la sauce yuan, panais mijotés au soja, légumes marinés au dashi, courge d’Hokkaido mariné à la sauce Nanban, bœuf mijoté au poivre sanshō, tamagoyaki (omelette japonaise), daurade au miso, algue nori… Le tout dans le plus pur respect des produits — bravo ! Pour la glycémie, optez pour une pâtisserie, comme ce fondant Sakura mochi (feuille de cerisier, riz gluant et pâte de haricots rouges à 6 €), tout en lapant un délicieux thé importé du Japon (à partir de 16 € les 50 grammes).
Mode d’emploi ? Livraison via le site internet. La commande se fait maximum la veille (avant 15h) pour le lendemain.
Quelle vibe ? En plein règne de l’affreux Covid, le duo culotté Arthur Cohen et Olivier Léone décide de lancer sa propre affaire – un stylé izakaya planqué dans l’incontournable rue des Archives… Pas de bol. Mais malgré la fermeture forcée des restos, on est ravi de voir que leur spot traverse la tempête virale avec de fringantes assiettes en livraison, à dévorer avant tout avec les yeux : tout est infiniment coloré, plein de pep’s et particulièrement bien chiadé… Quand côté goût, c’est tout simplement un dé-lire ! Les zigues s’éclatent en terre nipponne sans se faire hara-kiri, à l’image de ce dément Toro Salmon Sashimi Don, soit des sashimis de thon gras et saumon morcelé au scalpel, oeufs de truite, (très bon) riz et fleurs de saison à 24 € ; Mais aussi ces fondantes pièces de makis thon rouge ou thon gras / kampyo, servis ici en version XXL (19 € les 8). Ou encore cet imposant Sando, servi en version poulet pané ET œuf, toppé de mayo japonaise, cresson et dodu pain de mie où on aimerait poser sa tête pour digérer. Le tout est à faire passer avec des bières Kirin. Fin du game !
Mode d’emploi ? Commandes ouvertes de 12h à 14h30 et de 19h à 21h30. Vous pouvez aussi précommander votre onii-meal ! Pour la livraison, l’horaire est approximatif et varie d’environ 20 min. www.onii-san.fr.
Quelle vibe ? Les nostalgiques du mythique Caffè dei Cioppi (fermé en 2015) ont suivi Federica Mancioppi et Fabrizio Ferrara, milano-siciliens, quelques rues plus loin. Une sublime osteria, nichée dans un vieux bistrot… Qui propose une offre en take away – si si ! En entrée, à piocher à la nouvelle carte : arrancini al ragù (6 €) ou carpaccio de saint-jacques, pois chiches toscans, cédrat (12 €)… En plats, divines linguine alla amatriciana ou maccheroni, ces grosses pâtes napolitaines, à la ricotta et puntarelle (14 € chaque). Au déj, entrée/plat ou plat/dessert 18 € (20 € avec dessert).
Mode d’emploi ? Du lundi au samedi, 12h-14h et 18h30-21h. A commander sur www.osteriaferrara.com ou par téléphone : 01 43 71 67 69 ou mail : osteria.ferrara@yahoo.com.
Quelle vibe ? L’équipe de cette cantine turque se lève aux aurores pour préparer le nec plus ultra de la broche. A savoir de la poitrine de veau mélangée à de la dinde, marinée de longues heures avant d’être embrochée le lendemain puis grillée. Ajoutez à tout cela des oignons rouges émincés, une pointe de sumac – épice au goût délicatement acidulé – du piment, du persil, une sauce légère à la tomate… Enroulez le tout dans une fine galette de blé maison appelée dürüm et vous obtenez la Rolls du döner kebab !
Mode d’emploi : A emporter uniquement, du lundi au samedi de 11h30 à 16h30, 57 rue des Petites-Ecuries, 10e. N’arrivez pas trop tard : chez Ozlem, on ne prépare qu’une seule broche par jour. A bon entendeur…
Quelle vibe ? Notre chouchou continue de dépoter à flux tendu ses merveilles hambourgeoisées via ses huit enseignes parisiennes ! La raison du succès ? Une dizaine de joufflus trésors (le pain est fait maison) à empoigner à pleines mains, à l’instar de ce costaud Smoky Blue bien relevé au Blue Stilton, poitrine fumée et confit d’oignon (13,50 €), ou ce Golden State of Mind avec cheddar affiné 18 mois, poitrine fumée et sauce moutarde à l’ancienne (13,50 €)… Oufissime ! A noter que les steaks, hachés et maturés sur place, viennent de la ferme de Samuel Fouillard dans l’Aisne. C’est l’énorme atout de l’adresse, avec les french fries : de finissimes et croustillantes allumettes, cuites en deux fois, comme il se doit. Sans oublier ce tour du monde des bières d’exception, “de Montreuil au Sri Lanka” dixit la carte. Mais aussi des vins tendance nature, très corrects.
Mode d’emploi ? En livraison sur Deliveroo ou en click & collect sur le site de PNY.
Quelle vibe ? Depuis son ouverture en 2016, Passerini est clairement resté l’un de nos italiens préférés. Et on n’est pas les seuls à le penser ! Presse dithyrambique oblige, en temps normal, mieux vaut réserver en amont pour avoir la chance d’y poser ses coudes. Bonne nouvelle : maintenant, vous pouvez goûter ces plats divinement mijotés a casa ! Au menu ? Une kyrielle d’intitulés tous plus alléchants les uns que les autres, et à 10 balles ! Au choix : salade de poulpe, pommes de terre, pimienton et pickles de poivrons verts ; ou ces savoureuses tripes de bœuf à la romaine, avec guanciale (joue de porc), tomate, pecorino et menthe… Sans oublier le pigeon en deux temps (fettucine au ragoût de cœur et de foie puis, tout aussi gourmand, la carcasse à tortorer avec son jus de cuisson) ! Pssst : la squadra livre tout Paris intra-muros !
Mode d’emploi ? Consultez le menu et commandez ici. Du mercredi au samedi, commandes la veille entre 10h et 22h pour le lendemain, à retirer au restaurant entre 18h et 19h. Livraison en bas de chez vous entre 17h et 20h (minimum de commande de 60 € + frais de 10 €).
Quelle vibe ? Deux semaines à peine avant le début de la crise Covid, Jonathan Sabathé, passé par l’Experimental Cocktail Club, décide de se lancer sa propre affaire à Pantin… Pas de bol. Mais on est ravi de voir que son sympathique petit bar, posté à un jet de chorizo du canal de l’Ourcq et tapi dans l’ombre du coolosse Centre National de Danse, traverse la tempête virale en proposant des… burgers à emporter (12,50 €) ! Au menu : un super “Big Pantin” (bœuf d’Aquitaine haché, sauce Pastoral, cheddar affiné, pickles maison et oignons). Ou, pour les inconditonnels de poulet, un “Burger Manny” : suprême de poulet jaune, pané panko à la nippone, sauce mayo au chipotle maison, emmental français et choux blancs mariné. Bim ! Pour s’hydrater le gosier ? Coup de cœur pour cette canette de Chilled joliment designée, première eau gazeuse à l’hibiscus et au CBD. Ou, mieux encore, un cocktail, spécialité de la maison.
Mode d’emploi ? En livraison sur Uber Eats ou à emporter du mardi au dimanche de midi à 14h30.
Quelle vibe ? Si les très classes Editions de l’Epure viennent de lui consacrer tout un ouvrage en 2021, c’est que le curry japonais est un plat extrêmement important dans la culture nippone. Imaginez un ragoût de bœuf qui mijote durant de longues heures avec une pâte de curry maison dans laquelle on retrouve une vingtaine d’épices, des carottes, des pommes, de la sauce soja et même… un peu de chocolat ! Cette sauce trouble et sirupeuse est servie dans une écuelle en (faux) métal avec du riz rond japonais et, au choix, du bœuf, du porc pané ou du poulet frit. Chez Pontochoux, première cantine du genre à Paname (sise, ça s’invente pas, rue du Pont-aux-Choux !), on se régale. A quelques enjambées de sa délicieuse planque du Marché des Enfants-Rouges, Taeko Inaï a ouvert ce minuscule resto Polly Pocket. Curry au bœuf, au porc pané, poulet frit ou légumes, ils sont tous à 15,90 €. A côté de ça, trois donburi bien réconfortants, et parfaits pour éponger l’apéro express pre-couvre-feu ! Mapo tofu (14,50 €), poulet frit bien crunchy (14,50 €) ou chirachi veggie (15 €).
Mode d’emploi ? Sur place en take away ou click & collect (18 rue du Pont-aux-Choux dans le 3e) du mardi au dimanche (11h30-19h30). Tél : 09 86 70 77 00. Livraison via Deliveroo.
Quelle vibe ? Envie de dévorer un vrai bon medley de la cuisine israélienne ? Après nous avoir régalés en salades et cultissimes schnitzels chez Salatim, Yariv Berreby voit double et remet le couvert de son orgasmique popote kasher chez Maafim. Autant dire qu’avec le combo des deux, c’est la régalade ! A la carte ? Replets fricassés tunisiens (sandwiches au thon, œuf, olives… tenant au corps !) ou bête de shakchouka-dwich… Mais aussi ? Chou-fleur ou patate douce rôtis (8 €), houmous, labneh ou caviar d’aubergines maison (6 € chaque)… Et encore ? Couscous carné (13 €), tendres falafels livrés avec leur sauce tahina (8 €), pitas au zaatar (2,50 €), trio de boulettes de Shabbat au bœuf haché entourées d’une lamelle pomme de terre (14 €) ou babka familiale aux pommes (15 €)… Pour faire glisser tout ça : une limonana maison (3,50 €), aussi bonne qu’à Tel Aviv !
Mode d’emploi ? Commande en ligne. Livraison sur Paris intra-muros, Levallois, Neuilly sur Seine et Boulogne Billancourt. Les commandes doivent être validées avant midi du lundi au vendredi pour une livraison le jour même entre 18h et 20h (sauf vendredi livraison prévue entre 15h30 et 17h). Supplément de 5e pour toute livraison en dehors de Paris. Click & collect possible au restaurant Maafim, 3/5, rue des Forges 75002 Paris. 01 42 36 40 83.
Quelle vibe ? En 2011, le jeune chef Bertrand Grébaut inaugurait cette table gastronomique dépoussiérée à Charonne. Révolution ! Depuis ? Le spot a décroché l’étoile au guide du pneu. On y a croisé Jay-Z, Beyoncé et François Hollande. Et c’est toujours aussi bon, même en confinement ! “Septime à la maison” c’est un menu complet à 39 € (32 € pour le menu veggie). Exemple ? En entrée, un œuf mollet, bouillon de champignons infusé au foin et petit épautre; suivi en plat d’une badass échine de cochon sarthois, sauce charcutière dopée aux kumquats et à l’endive fumée ! Avec, en dessert, une ganache au chocolat flanquée d’une crème montée aux herbes du jardin et de croûtons au miel. Tous les détails (carte, prix et modalités de retrait/livraison sont sur le site). En bonus : d’excellents vins naturels et bières artisanales.
Mode d’emploi ? Vous pouvez passer commande tous les jours de la semaine (J+6), au plus tard la veille (J+1) avant minuit ici. Choisissez votre option de retrait/livraison. Retrait des commandes le jour J, de 17h à 19h au resto (80, rue de Charonne, 11e). Livraison possible (+10 €) au pied de votre immeuble à partir de 80 € d’achats, sur Paris intra-muros, entre 17h et 19h.
Quelle vibe ? Après avoir englouti des restos en livraison par dizaines depuis un an, un constat s’impose : Sola est sûrement la proposition la plus poussée, la plus aboutie, la plus jusqu’au-boutiste et la plus maligne qu’on ait eu à goûter jusque-là. On le doit à Kosuke Nabeta, géniale toque japonaise qui balance un menu omakase en 5 étapes (60 €), éparpillé sous vide dans une boîte en bois. La suite ? Grâce à un bouquin graphique écrit à la mano, poussant à fond le curseur du pointillisme (lexique japonais à l’appui), vous allez pouvoir gérer les cuissons (en bain-marie) et le dressage (bien aidé par une vidéo en QR code) telle une vraie toque étoilée. C’est ainsi que ce soir-là, on a goûté le graal : graphique maquereau fumé au Sakura, Iri saké et sauce Ume à saucer d’huile de poireaux ; un fondantissime saumon mi-cuit mariné au shiokoji, bien accompagné de gourmands condiments céleri rave, œufs de truites et yuzuponzu ; un très hivernal plats de légumes de mère-grand, crème légère de saikyo-miso et yuzukosho (zeste de yuzu et piment)… Avant, le meilleur pour la faim : un très équilibré gigot d’agneau de lait cuit au charbon, complexe kimpira de choux rouges et purée de betterave. En clou du spectacle ? Un dessert mitonné par la cheffe pâtissière Noémie Traube : un Paris-Tokyo (pâte de sésame, chocolat, praliné, sauce balsamique…) aussi déroutant que réussi. A noter une version végétarienne (40 €) tout aussi convaincante (mon dieu cette assiette de pâte de tofu fumée au bois de Sakura, ankaké et escabèche de shiitake…). Et la possibilité de partir sur un accord mets/ saké (38 €) avec tout un tas d’explications vidéo très pédagogiques – différence entre les saké (tradi, moderne etc.), les provenance, les maisons.. Du génie !
Mode d’emploi : www.restaurant-sola.com
On doit le spot à Benedikt Schilling et Stéphane Brass, docteurs ès kebab qui, après avoir fait leurs gammes en terre promise (Berlin), viennent dorloter les estomacs parigots avec la crème de la crème du kebab. Un joli ‘dwich où le pain toasté abrite un délicieux poulet mariné, juteux et croustillant, envoyé d’outre-Rhin par le même boucher que le mythique Mustafa’s Gemüsekebap (le meilleur du genre). A ses côtés, un combo de légumes (choux rouges, carottes, poivrons, aubergines), l’incontournable trio salade-tomates-oignons, topé de feta et zeste de citron pressé minute. Le tout à saucer en kräuter (sauce yaourt), knoblauch (sauce à l’ail) ou scharf (sauce piquante), et à boulotter avec des frites bien dorées. Miam ! Pour faire passer le tout, des sodas (Club-Mate, Fritz Kola) et des bières (Radler, Rothaus Tannenzäpfle) de là-bas. A noter, la possibilité de tester plusieurs formules veggies.
Mode d’emploi : Ouvert tous les jours à emporter, de midi à 15h30. Mais aussi en livraison jusqu’à 21h30 sur Deliveroo.
Quelle vibe ? Petit frère de Deux fois plus de piment, ce spot dépote des nouilles dandan, nappées de sauce sésame, cacahuètes, viande hachée, chou chinois… Ou de dodus raviolis maison au porc haché, ciboulette chinoise, cacahuètes, ail frais et croquant ! Bien sûr, vous précisez au préalable le degré de piment que vous souhaitez, sur la fameuse échelle de 1 à 5. Faites pas les malins : ne dépassez pas le 2.
Mode d’emploi ? Vente à emporter et livraison (Deliveroo, Uber eats, Just Eat et Glovo)
Quelle vibe ? Le resto étoilé déboule chez vous ! Chaque semaine, la Japonaise Chiho Kanzaki et l’Argentin Marcelo di Giacomo, deux pointures, anciens du triple étoilé Mirazur à Menton, également passés par La Ferme Saint-Simon dans le 7e arrondissement, créent pour vous trois menus gastronomiques : “Terre”, “Mer” ou “Potager” (45 €/personne). Subtils, les plats reprennent les classiques de la maison. Ils sont déjà dressés, pas besoin de matos de cuisine, il n’y a plus qu’à assaisonner et réchauffer ! Exemples ? Dans le menu “Mer”, cette assiette de pêche de ligne et arroz caldoso au fumet de poisson et safran. Ou dans le menu “Terre”, un divin porc Kintoa laqué au miel, quinoa et herbes fraîches !
Mode d’emploi ? Click & collect et livraison (Paris et proche banlieue). Menus à commander du jeudi au samedi, au déjeuner et dîner. https://virtus-paris.shop-and-go.fr/
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